Au Moyen-Orient, la Jordanie est un havre de paix dans une région compliquée. Sans doute la sagesse bédouine associée à un processus de libéralisation et de démocratisation. Et le récent accord de Genève sur la Syrie permet d’envisager sans crainte un voyage dans ce pays.
Plus au sud, la paisible Arabie, Oman, de tradition pacifiste, est restée à l’écart des troubles régionaux depuis des décennies.
L’Ethiopie, largement chrétienne, Djibouti, où sont basés de nombreux militaires français, maîtrisent les éventuels problèmes de sécurité.
Enfin, nous espérons rouvrir l’Egypte dans les prochaines semaines, le calme revenu.
D’autres espoirs à moyen terme ?Le Mali et son pays dogon, le Tchad et la Mauritanie, très injustement traitée tant par les médias que par le Quai d’Orsay. Mais aussi l’Iran, le Liban, quand la crise syrienne sera plus lisible. Pour le Yémen, cela me paraît encore bien lointain.
D’autres interdits ?Le Nord-Niger et le Sud libyen, largement incontrôlés ; et le Sud algérien, proche des régions à problème, et parce que le gouvernement algérien a d’autres préoccupations que de garantir la sécurité des touristes...
Que se passe-t-il si je suis inscrit
et que la région devient dangereuse ?Quel que soit l’enjeu financier, nous n’emmenons pas de voyageurs dans des régions que nous savons dangereuses. Si cela était le cas, nous proposerions aux clients inscrits un report sans frais sur une autre date ou une autre destination, voire un remboursement.
Sur place, nous réagissons sans tarder, en mettant nos clients en sécurité et en les rapatriant, si nécessaire, à nos frais.
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