Nous étions 7 + le guide, on était sur le terrain du 19.03 au 24.03.22.

On a eu toutes les météos. Pluie, beau temps, tempête de vent, mitigé, neige, brouillard et encore du beau temps.
Comme ce n'est que sur 6 jours, et que l'on dort dans du dur, nous avions 1 seule pulka pour 2.
Réchauffement climatique oblige: il faut avoir un sac à dos avec pèlerine-bâche incorporée, car il a plu. Les lacs gelés, traversés, étaient parfois recouverts de 10 centimètres d'eau de pluie, ou de fonte des neiges.

Parcours original, à travers des paysages variés, on a vu des rennes, (des moto-neiges aussi), un peu de végétation, quelques lagopèdes, des villages lapons fermés en hiver, des forêts de bouleaux. Ce n'était pas trop fréquenté.

Les hébergements sont rustiques et confortables, chacun doit y participer: chercher l'eau, couper le bois, cuisine + vaisselle. On peut faire sècher les vêtements autour des réchauds à bois. Il y a des couchettes à étage et des WC dehors, mais pas de douche sur le parcours de la Kungsleden.

Une belle expérience, accessible à tous, avec un accompagnateur très compétent et sympathique, Mathieu.

Pour info, la location du matériel revient meilleur marché, que les suppléments 2e bagage en aérien, c'est moins encombrant pendant le voyage, on est sûr d'avoir le matériel adéquat et on n'abîme pas son propre matos.
En Suède, le cash est rarement accepté, la CARTE DE CREDIT international est indispensable !!

Nous étions un petit groupe de 8, et nous avons parcouru l'Ile du Sud de la Nouvelle-Zélande, en mars 2017. Il n'y a eu que peu de pluie et les températures sont agréables. Le niveau "5 souliers" indiqué par Allibert est largement mérité, c'est un circuit bien sportif. Mais avec le confort de dormir dans du "dur", et de souper au restaurant tous les soirs. C'est un trek vraiment magnifique, qui m'a enchanté: multiples vues spectaculaires sur d'immenses lacs; plusieurs passages dans la forêt humide, comme si c'était la forêt tropicale ! Vues sur l'Océan Pacifique Sud (la mer de Tasman). Montée dans un pierrier à une cabane pour admirer le Mont Cook, mais Attention au rafales de vent à 120 km/h, ce jour-là. Et nous avons encore longé une très longue crête herbeuse pour atteindre un sommet panoramique, rocheux, vraiment exceptionnel. Et dans un petit groupe de 8, c'est encore mieux. Merci à notre guide-chauffeur-logisticien, Marios, pour ces magnifiques moments, inoubliables !!

Circuit très intéressant parcouru entre novembre et décembre 2016: Météo sèche tout le long.
Notre guide local, francophone (Sountou) a très bien animé le circuit, il était proche de nous et très apprécié.

Nous avons pu visiter les châteaux de Gondar et les anciennes églises de Lalibella, déguster leur plat national: injera, très bon.

Les paysages sont intéressants avec ces arbres: lobelia géant et ses grandes étendues d'herbes sèches, vertes parfois... On s'est baigné 2 fois dans des gouilles avec cascades.. Les journées de marche pas trop longues, et on a pu admirer des superbes couchers de soleil avec une vue panoramique. On a rencontré pusieurs groupes de babouins.

L'équipe locale était aux petits soins.

Si vous avez l'occasion de parcourir ce merveilleux pays, pensez SVP, à amener des stylos aux enfants, il y a tellement de demande, ils en réclament partout, ces pauvres enfants, en habits tout déchirés !!

François

Nous l'avons fait en octobre-novembre 2015. Un trek qui offre de magnifiques points de vue sur les plus grands sommets de la planète: Everest, Lhotse, Makalu, Cho Oyu et des 7000: Ama Dablam, Nuptse, Pumori. (L'Island Peak n'était pas dans notre programme). La région de Gokyo est particulièrement belle. Néanmoins, pas aussi intéressant culturellement que le Dolpo ou le Mustang, car ces villages se sont développés pour le tourisme. Nous avons eu du beau temps tout le long, sauf au Camp de Base et au Kala Pattar. Je recommande ce circuit.

Nous l'avons effectué en 04.14. Un beau circuit, qui demande plus d'engagement que les treks classiques. On peut être bloqué à cause d'une tempête, pdt des heures dans la tente, mais on part en fin de journée et on avance le soir. Car au Spitzberg, comme il fait jour 24h/24 à cette saison, on ne calcule pas en thermes d'horaires mais de FENETRES METEO !! Et on a bien mangé !! François