
Zimbabwe

Repères
Population |
14 millions d’habitants. |
Superficie |
390 580 km2. |
Capitale |
Harare. |
Villes principales |
Bulawayo, Chitungwiza, Gweru. |
Point culminant |
mont Nyangani (2 592 m). |
Langues officielles |
anglais, shona, sindebele. |
Religions |
chrétiens (67 %), autres religions et animistes (33 %). |
Décalage horaire |
par rapport à la France,
une heure de plus de novembre à mars, même heure d’avril à octobre. UTC/GMT : + 2 h. |
Géographie
Dépourvu d’accès à la mer, Le Zimbabwe a pour voisins la Zambie au nord-ouest, le Mozambique à l’est, l’Afrique du Sud au sud et le Botswana au sud-ouest. On distingue trois régions définies par
leur altitude :
— le haut Veld, à plus de 1 400 mètres, constitue la
dorsale centrale,
— le moyen Veld, entre
700 et 1 400 mètres, au nord-ouest et au sud-ouest,
— le bas Veld, le long des vallées du Limpopo et du
Zambèze.
Les chutes Victoria, près de la ville de Livingstone en Zambie et faisant partie du fleuve Zambèze, sont considérées comme parmi les plus grandes et les plus impressionnantes du monde, avec 1 700 mètres largeur et jusqu’à 108 mètres de hauteur.
Climat
Le climat tropical est tempéré par l’altitude.
— le haut Veld, à plus de 1 400 mètres, constitue la dorsale centrale,
— le moyen Veld, entre 700 et 1 400 mètres, au nord-ouest et au sud-ouest,
Les chutes Victoria, près de la ville de Livingstone en Zambie et faisant partie du fleuve Zambèze, sont considérées comme parmi les plus grandes et les plus impressionnantes du monde, avec 1 700 mètres largeur et jusqu’à 108 mètres de hauteur.
été | hiver | |
novembre à mars | avril à juin | juillet à octobre |
températures chaudes : jusqu’à 40 °C en janvier en journée |
températures fraîches : 15 °C en journée et jusqu’à 0 °C la nuit |
températures chaudes : 25 °C en journée et jusqu’à 10 °C la nuit |
saison des pluies | saison sèche |
Économie
Le Zimbabwe est riche de son agriculture et de son élevage bovin et caprin. Les principales cultures, tant sur les immenses fermes
commerciales européennes que sur les petites exploitations africaines, sont le maïs, alimentation de base de la population, et le tabac, destiné à l’exportation ; les autres cultures importantes sont le coton et la canne à sucre.
Le Zimbabwe est l’un des premiers producteurs
au monde de chrome ; l’or est
actuellement la principale richesse minière ; viennent ensuite le nickel, le charbon, le cuivre et
le fer. Son secteur industriel est important : textile,
alimentation, produits métallurgiques, matériel de transport et
armement.
Le réseau ferroviaire est particulièrement dense, les
deux principales voies ferrées partent de Harare, l’une vers l’Afrique
du Sud, et l’autre vers le Mozambique.
Société
Les Européens, pour la plupart de souche britannique, sont en régression continue ; ils vivent dans les grandes
agglomérations et le long de l’axe Harare-Bulawayo. Les Noirs représentent 98 % de la population et sont divisés en deux grandes ethnies : les Shonas, répartis en plusieurs clans (zezuru, karanga, manyika…), de loin les plus nombreux (près de 80 % de la population) ; et les
Ndébélés ou Matabélés (environ 20 %). Les Shonas habitent à l’est et au nord et se
distinguent par leur art foisonnant et superbe ; chrétiens, ils ont conservé leurs croyances traditionnelles
animistes.
L'histoire du pays
Le Zimbabwe est l’un des premiers producteurs au monde de chrome ; l’or est actuellement la principale richesse minière ; viennent ensuite le nickel, le charbon, le cuivre et le fer. Son secteur industriel est important : textile, alimentation, produits métallurgiques, matériel de transport et armement.
Le réseau ferroviaire est particulièrement dense, les deux principales voies ferrées partent de Harare, l’une vers l’Afrique du Sud, et l’autre vers le Mozambique.
L'histoire du pays
La présence des premiers habitants en Afrique australe remonte à plus de 8 000 ans avant notre ère. Vers 500 arrivent d’Afrique centrale artisans du fer et agriculteurs Bantous. Le peuple shona développe la cité du Grand Zimbabwe,
structurée autour d’une monarchie, d’une caste dirigeante et d’une armée, qui devient la capitale la plus riche et la plus puissante d’Afrique
australe ; son influence culmine au XIVe siècle. Au XVe siècle, la dynastie des Shonas décline brusquement ; la dynastie des Torwa fonde son royaume, des membres issus de la civilisation de Grand Zimbabwe, avec à leur tête le roi Mwene Mutapa, fondent l’empire shona de Monomotapa, lequel prospère jusqu’au XVIIe siècle. Un vassal rebelle, Changa, crée un nouveau royaume et s’empare du site de Zimbabwe. Au début du XIXe siècle, les empires disparaissent, envahis par les troupes de l’empereur zoulou Chaka. En 1888, Charles Rudd, un émissaire de la British South Africa Chartered Company, obtient la concession exclusive des richesses minières en échange de quelques livres sterling, de
mille fusils et d’une canonnière, qui ne seront jamais livrés !
En 1923, la Rhodésie,
appelée Rhodésie du Sud (l’actuelle Zambie constituant la Rhodésie
du Nord), devient colonie britannique ; le régime rhodésien adopte des mesures semblables à celles qui régissent l’apartheid
en Afrique du Sud : partage inégal des terres entre colons européens et autochtones africains, exclusion des Africains des emplois de travailleurs
qualifiés.
En 1953, une Fédération entre la Rhodésie du Nord et le
Nyassaland (le futur Malawi) voit le jour. L’Assemblée fédérale compte une minorité de députés
noirs, ce qui est exceptionnel à une époque où aucun Africain ne siège
à l’Assemblée sud-rhodésienne. Les partisans de la suprématie blanche créent
le parti du Dominion, pour défendre leurs intérêts face aux
revendications des Noirs, qui, sur le modèle sud-africain, fondent le Congrès national africain (ANC), dirigé par Joshua Nkomo, un syndicaliste ndébélé qui fait cause commune avec les leaders nationalistes noirs de Rhodésie du Nord et du Nyassaland.
La Fédération est dissoute et, en 1964, sous le nom de Zambie et de Malawi, la Rhodésie
du Nord et le Nyassaland accèdent à l’indépendance. Encore sous domination britannique, mais bénéficiant
d’une large autonomie, la Rhodésie du Sud entre dans une
période de prospérité qui profite avant tout à la minorité
européenne.
L’opposition noire connaissant des
tensions internes, le Congrès national africain est rebaptisé Union du peuple africain du Zimbabwe (ZAPU), la
branche dissidente donne naissance à l’Union nationale africaine
du Zimbabwe (ZANU). Boycottées par les deux partis nationalistes
noirs, le Front rhodésien — qui a succédé au parti du Dominion —
remporte les élections de 1965 ; son leader, le nouveau Premier ministre Ian Smith,
réclame l’indépendance à la Grande-Bretagne, qui refuse de
la lui accorder tant que les Noirs ne seront pas associés plus largement
au pouvoir. Mais I. Smith proclame unilatéralement l’indépendance
de la Rhodésie et, en 1970, la République.
L’insécurité dans les zones rurales, entretenue par
les maquisards des mouvements de libération, devient permanente. Finalement, un
gouvernement de transition, formé en 1978, est chargé de préparer le transfert
du pouvoir à la majorité noire. En 1979, le processus
d’indépendance est finalisé. Aux élections multiraciales de 1980, la ZANU de
R. Mugabe l’emporte sur la ZAPU de J. Nkomo.
La Rhodésie accède à l’indépendance sous le nom de Zimbabwe en 1980.
En 1987, un régime présidentiel est instauré et R. Mugabe devient
président de la république. En 1988, la ZAPU et la ZANU
fusionnent et un parti d’opposition, le
Mouvement de l’unité du Zimbabwe (ZUM) est créé. Dans les années 1990, la situation économique est inquiétante, avec une dette
extérieure considérable et un fort taux de chômage. La hausse des prix des produits de
base provoque des émeutes, et, en 1998, l’armée
intervient pour rétablir l’ordre.
Au lendemain de l’échec du référendum constitutionnel de février
2000 visant à consolider les pouvoirs du président, l’adoption par le Parlement d’une loi autorisant les
expropriations des fermiers blancs sans indemnisation plonge le pays
dans une grave crise politique et économique. 4 500 fermiers blancs sont expulsés et leur terres redistribuées, le
plus souvent à des membres de la nomenklature dirigeants de la ZANU-PF
ou des proches de la famille Mugabe. En 2001, à l’issue de négociations menées sous l’égide du Commonwealth,
le Zimbabwe s’engage à mettre fin à l’occupation illégale des terres
appartenant à des fermiers blancs et aux violences politiques. La
Grande-Bretagne, en contrepartie, accepte de financer une réforme
agraire.
L’élection présidentielle de 2002 fournit au régime prétexte à la mise en place d’un arsenal répressif assimilant toute contestation du régime à un acte “d’insurrection, de
banditisme et de terrorisme” ; dans ce contexte, R. Mugabe est réélu dès le premier tour. Dénigrant les contestations qui déclarent le
scrutin illégitime, le régime renforce sa répression en faisant
assassiner plusieurs opposants. Le Zimbabwe est soumis à une série de sanctions et suspendu du Commonwealth.
En 2008, au terme d’une parodie de scrutin, R. Mugabe, âgé de
84 ans dont 28 à la tête du pays, est déclaré réélu pour un sixième
mandat.
Afin de sortir le pays de la profonde crise
politique, économique et sociale dans laquelle il se trouve, le
président sortant et son ex-opposant, M. Tsvangirai, signent un accord de partage du pouvoir. S’en suit une amélioration de l’environnement économique et de la sécurité alimentaire. En 2013, après avoir été approuvée par référendum, une nouvelle constitution entre en vigueur. Relativement libéral et limitant l’élection du président à deux mandats
successifs, le texte est un préalable aux
élections générales qui se tiennent en juillet. Bien qu’entachées d’irrégularités manifestes, mais jugées globalement libres et crédibles par
les observateurs, elles donnent la majorité à la ZANU-PF, tandis que R. Mugabe est réélu pour cinq
ans !
Bon à savoirInformations pratiques
Le Braaï
Les
expatriés comme la population locale observent cette coutume depuis des
décennies. C'est un barbecue en famille ou entre amis, devenu vraiment
courant au Zimbabwe.
Le Bottle store
On achète ses bouteilles d'alcool dans des magasins spécialisés ! Les bottle stores sont implantés dans toutes les villes et villages et dans la plupart des stations-service.
La sadza
est le plat le plus populaire. C'est une pâte à base de maïs, de consistance plus ou moins
dure, de couleur blanche, elle est raffinée et de couleur sable quand
elle contient à la fois la farine et le son. La sadza se déguste
accompagnée de légumes verts, de viandes, de poissons... Les Zimbabwéens
en mangent du matin au soir !
Les expatriés comme la population locale observent cette coutume depuis des décennies. C'est un barbecue en famille ou entre amis, devenu vraiment courant au Zimbabwe.
Le Bottle store
On achète ses bouteilles d'alcool dans des magasins spécialisés ! Les bottle stores sont implantés dans toutes les villes et villages et dans la plupart des stations-service.
La sadza
est le plat le plus populaire. C'est une pâte à base de maïs, de consistance plus ou moins dure, de couleur blanche, elle est raffinée et de couleur sable quand elle contient à la fois la farine et le son. La sadza se déguste accompagnée de légumes verts, de viandes, de poissons... Les Zimbabwéens en mangent du matin au soir !
La circulation routière
Ancienne colonie anglaise, le Zimbabwe a gardé le code de la route britannique : on conduit à gauche. Cependant, on laisse la priorité à droite aux carrefours non réglementés.
Les combis
Il s'agit de vieux minibus et véhicules en tout genre, sans aucune signalisation. Ils conduisent les voyageurs d'un bout à l'autre pour quelques cents seulement.
Les fleurs
Le Zimbabwe est un grand producteur de fleurs et particulièrement de roses, mais aussi de protéas, l'emblème de l'Afrique du Sud. Les protéas poussent surtout dans les hautes terres de l'Est. Les hôtels de la région rivalisent de compositions plus magnifiques les unes que les autres. Si votre parcours vous amène dans ces lieux reculés, ne manquez pas d'aller contempler quelques instants les myriades de buissons blancs, roses et oranges ornant les pentes des monts brumeux.
La "génération"
" D'où êtes-vous ? ". Pour répondre à cette question, les gens font souvent référence au mot " génération " . Dans les transports, autour d'un feu de camp ou dans un Tea garden, il est quasiment impossible de ne pas entendre une ou plusieurs fois ce mot au cours d'une discussion. " Je suis Zimbabwéen de la première génération, ma mère vient d'Afrique du Sud, mon père du Royaume Uni. " " Moi je suis Zimbabwéen de la troisième génération, mes arrières grands-parents viennent d'Ecosse".
Mum
Dans la rue, une personne qui souhaite se renseigner, aborde une autre, avec respect et toujours avec un petit mot bien choisi, du genre " Boss ", " Sister ", " Brother " " Mum " ou " Papa ". Les deux derniers termes constituent le summum du respect et ne font pas forcément référence à l'âge, bien qu'ils fassent référence aux parents, les êtres les plus chers du monde. Mesdames, ne prenez donc pas cela comme un signe de vieillesse, mais plutôt comme un signe d'accueil et de politesse, ancré dans la tradition du pays.
Tension électrique : 220 - 240 V, 50 Hz. Prévoyez un adaptateur pour les prises électriques.
Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Prévoir une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries.
Nous vous conseillons d'emporter des jumelles d'approche pour admirer la faune dans les parcs, ainsi qu'un téléobjectif si vous en possédez un.
Quelques mots utiles
Les Zimbabwéns parlent l’anglais, le shona ou le sindebele, toutes trois langues officielles. Apprendre quelques mots clés en shona, qui fait partie de la famille des langues bantoues, vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, et de rendre plus agréables vos échanges avec les populations rencontrées. Alors n’hésitez pas à faire l’effort d’utiliser les expressions suivantes :
Bonjour (le matin) : mangwanani.
Bonjour (l'après-midi) : masikati.
Bonsoir : manheru.
Merci : ndatenda / mazvita.
S'il vous plaît : ndapota.
Au revoir : chisarai zvakanaka.
Vous pouvez demander à votre guide comment les prononcer, votre voyage n’en sera que plus riche ! Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d'avoir de bons contacts !
Bibliographie
Site Internet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Géographie_du_Zimbabwe.
Guides
Zimbabwe, Botswana and Namibia, Lonely Planet, en anglais.
Afrique australe, Lonely Planet.
Ouvrages illustrés
Afrique australe, l’avenir d’un monde sauvage, Peter Godwin et Chris Johns, préface de Nelson Mandela, National Geographic Society.
Récits, littérature
Rires d’Afrique, voyage au Zimbabwe, Doris Lessing, Albin Michel.
La Ligne de front, un voyage en Afrique australe, Jean Rolin, La Table Ronde.
Ombres, Chenjerai Hove, Actes Sud.
Carte
Zimbabwe 1/1 100 000, ITM, 2002.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Géographie_du_Zimbabwe.
Guides
Zimbabwe, Botswana and Namibia, Lonely Planet, en anglais.
Afrique australe, Lonely Planet.
Ouvrages illustrés
Afrique australe, l’avenir d’un monde sauvage, Peter Godwin et Chris Johns, préface de Nelson Mandela, National Geographic Society.
Récits, littérature
Rires d’Afrique, voyage au Zimbabwe, Doris Lessing, Albin Michel.
La Ligne de front, un voyage en Afrique australe, Jean Rolin, La Table Ronde.
Ombres, Chenjerai Hove, Actes Sud.
Carte
Zimbabwe 1/1 100 000, ITM, 2002.
Tourisme responsableLe respect des us et coutumes
Zimbabwe signifie " la maison de pierre " en
langue shona. Dans ce pays, les traditions
se sont adaptées à une modernité occidentale, avec notamment une
élégante influence anglaise. Loin du désordre habituel qui caractérise
certaines grandes villes du continent africain, ici, pas de motos, les
routes sont excellentes, on trouve des écoles partout et le tea time
est de rigueur, y compris dans les huttes des campagnes reculées ! Le
Zimbabwe révèle l'immensité du continent africain et sa multitude de
pays, d'histoires et de cultures différentes.
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue
vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est
interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous
la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en
particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à
abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire
un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une
organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre
guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
La préservation de l'environnement
Les parcs animaliers abritent les big five (buffle, lion, éléphant, rhinocéros, léopard), et aussi antilopes, crocodiles du Nil, des myriades d’oiseaux communs ou exotiques, nombre d’espèces de serpents (python, vipère du Gabon, mambas noir et vert) et de lézards de variétés multiples. L’éléphant est cependant, et probablement l’animal emblématique du Zimbabwe en raison de ses populations nombreuses, en particulier, dans le plus grand des parcs, le Hwange.
La végétation zimbabwéenne est assez variée. Une grande partie du pays est couvert de bushveld (savane), avec certaines régions qui se démarquent. Les Eastern Highlands sont recouvertes par endroits d’immenses forêts de pin, de rochers de grès ponctués des pics qui transpercent le paysage, le tout parcouru par des petites rivières... Près du Vumba poussent de vraies forêts tropicales, lianes et fougères géantes. Au sud et au sud-est, on peut trouver des baobabs. Poussent également jacarandas, bananiers, flamboyants, bougainvillées, aloès, acacias.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.
Des voyages 100 % carbone absorbé
Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert
Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des
émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
La préservation de l'environnement
Les parcs animaliers abritent les big five (buffle, lion, éléphant, rhinocéros, léopard), et aussi antilopes, crocodiles du Nil, des myriades d’oiseaux communs ou exotiques, nombre d’espèces de serpents (python, vipère du Gabon, mambas noir et vert) et de lézards de variétés multiples. L’éléphant est cependant, et probablement l’animal emblématique du Zimbabwe en raison de ses populations nombreuses, en particulier, dans le plus grand des parcs, le Hwange.
La végétation zimbabwéenne est assez variée. Une grande partie du pays est couvert de bushveld (savane), avec certaines régions qui se démarquent. Les Eastern Highlands sont recouvertes par endroits d’immenses forêts de pin, de rochers de grès ponctués des pics qui transpercent le paysage, le tout parcouru par des petites rivières... Près du Vumba poussent de vraies forêts tropicales, lianes et fougères géantes. Au sud et au sud-est, on peut trouver des baobabs. Poussent également jacarandas, bananiers, flamboyants, bougainvillées, aloès, acacias.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.
Des voyages 100 % carbone absorbé
Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert
Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des
émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...
La végétation zimbabwéenne est assez variée. Une grande partie du pays est couvert de bushveld (savane), avec certaines régions qui se démarquent. Les Eastern Highlands sont recouvertes par endroits d’immenses forêts de pin, de rochers de grès ponctués des pics qui transpercent le paysage, le tout parcouru par des petites rivières... Près du Vumba poussent de vraies forêts tropicales, lianes et fougères géantes. Au sud et au sud-est, on peut trouver des baobabs. Poussent également jacarandas, bananiers, flamboyants, bougainvillées, aloès, acacias.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.