Zimbabwe

Pays attachant aux facettes multiples, le Zimbabwe est avant tout symbolisé par l’image des très célèbres chutes Victoria (Victoria Falls), site d’une splendeur incomparable. Mais il ne faut surtout pas oublier que Zimbabwe possède aussi le lac Kariba, des parcs nationaux (Hwange, Gonarezhou, Mana Pools, Matobo), des villes (Harare et Bulawayo). Et les Shonas, population dominante du Zimbabwe, ne manqueront pas de vous étonner par leur savoir-vivre.
Voyages au Zimbabwe

Repères

Population

14 millions d’habitants.

Superficie

390 580 km2.

Capitale

Harare.

Villes principales

Bulawayo, Chitungwiza, Gweru.

Point culminant

mont Nyangani (2 592 m).

Langues officielles

anglais, shona, sindebele.

Religions

chrétiens (67 %), autres religions et animistes (33 %).

Décalage horaire

par rapport à la France, une heure de plus de novembre à mars, même heure d’avril à octobre. UTC/GMT : + 2 h.

Géographie

Dépourvu d’accès à la mer, Le Zimbabwe a pour voisins la Zambie au nord-ouest, le Mozambique à l’est, l’Afrique du Sud au sud et le Botswana au sud-ouest. On distingue trois régions définies par leur altitude :
— le haut Veld, à plus de 1 400 mètres, constitue la dorsale centrale,
— le moyen Veld, entre 700 et 1 400 mètres, au nord-ouest et au sud-ouest,
— le bas Veld, le long des vallées du Limpopo et du Zambèze.
Les chutes Victoria, près de la ville de Livingstone en Zambie et faisant partie du fleuve Zambèze, sont considérées comme parmi les plus grandes et les plus impressionnantes du monde, avec 1 700 mètres largeur et jusqu’à 108 mètres de hauteur.

Climat

Le climat tropical est tempéré par l’altitude.

été hiver
novembre à mars avril à juin juillet à octobre
températures chaudes :
jusqu’à 40 °C en janvier en journée
températures fraîches :
15 °C en journée et jusqu’à 0 °C
la nuit
températures chaudes :
25 °C en journée et jusqu’à 10 °C
la nuit
saison des pluies saison sèche

Économie

Le Zimbabwe est riche de son agriculture et de son élevage bovin et caprin. Les principales cultures, tant sur les immenses fermes commerciales européennes que sur les petites exploitations africaines, sont le maïs, alimentation de base de la population, et le tabac, destiné à l’exportation ; les autres cultures importantes sont le coton et la canne à sucre.
Le Zimbabwe est l’un des premiers producteurs au monde de chrome ; l’or est actuellement la principale richesse minière ; viennent ensuite le nickel, le charbon, le cuivre et le fer. Son secteur industriel est important : textile, alimentation, produits métallurgiques, matériel de transport et armement.
Le réseau ferroviaire est particulièrement dense, les deux principales voies ferrées partent de Harare, l’une vers l’Afrique du Sud, et l’autre vers le Mozambique.

Société

Les Européens, pour la plupart de souche britannique, sont en régression continue ; ils vivent dans les grandes agglomérations et le long de l’axe Harare-Bulawayo. Les Noirs représentent 98 % de la population et sont divisés en deux grandes ethnies : les Shonas, répartis en plusieurs clans (zezuru, karanga, manyika…), de loin les plus nombreux (près de 80 % de la population) ; et les Ndébélés ou Matabélés (environ 20 %). Les Shonas habitent à l’est et au nord et se distinguent par leur art foisonnant et superbe ; chrétiens, ils ont conservé leurs croyances traditionnelles animistes.

L'histoire du pays

La présence des premiers habitants en Afrique australe remonte à plus de 8 000 ans avant notre ère. Vers 500 arrivent d’Afrique centrale artisans du fer et agriculteurs Bantous. Le peuple shona développe la cité du Grand Zimbabwe, structurée autour d’une monarchie, d’une caste dirigeante et d’une armée, qui devient la capitale la plus riche et la plus puissante d’Afrique australe ; son influence culmine au XIVe siècle. Au XVe siècle, la dynastie des Shonas décline brusquement ; la dynastie des Torwa fonde son royaume, des membres issus de la civilisation de Grand Zimbabwe, avec à leur tête le roi Mwene Mutapa, fondent l’empire shona de Monomotapa, lequel prospère jusqu’au XVIIe siècle. Un vassal rebelle, Changa, crée un nouveau royaume et s’empare du site de Zimbabwe. Au début du XIXe siècle, les empires disparaissent, envahis par les troupes de l’empereur zoulou Chaka. En 1888, Charles Rudd, un émissaire de la British South Africa Chartered Company, obtient la concession exclusive des richesses minières en échange de quelques livres sterling, de mille fusils et d’une canonnière, qui ne seront jamais livrés !
En 1923, la Rhodésie, appelée Rhodésie du Sud (l’actuelle Zambie constituant la Rhodésie du Nord), devient colonie britannique ; le régime rhodésien adopte des mesures semblables à celles qui régissent l’apartheid en Afrique du Sud : partage inégal des terres entre colons européens et autochtones africains, exclusion des Africains des emplois de travailleurs qualifiés. En 1953, une Fédération entre la Rhodésie du Nord et le Nyassaland (le futur Malawi) voit le jour. L’Assemblée fédérale compte une minorité de députés noirs, ce qui est exceptionnel à une époque où aucun Africain ne siège à l’Assemblée sud-rhodésienne. Les partisans de la suprématie blanche créent le parti du Dominion, pour défendre leurs intérêts face aux revendications des Noirs, qui, sur le modèle sud-africain, fondent le Congrès national africain (ANC), dirigé par Joshua Nkomo, un syndicaliste ndébélé qui fait cause commune avec les leaders nationalistes noirs de Rhodésie du Nord et du Nyassaland.
La Fédération est dissoute et, en 1964, sous le nom de Zambie et de Malawi, la Rhodésie du Nord et le Nyassaland accèdent à l’indépendance. Encore sous domination britannique, mais bénéficiant d’une large autonomie, la Rhodésie du Sud entre dans une période de prospérité qui profite avant tout à la minorité européenne. L’opposition noire connaissant des tensions internes, le Congrès national africain est rebaptisé Union du peuple africain du Zimbabwe (ZAPU), la branche dissidente donne naissance à l’Union nationale africaine du Zimbabwe (ZANU). Boycottées par les deux partis nationalistes noirs, le Front rhodésien — qui a succédé au parti du Dominion — remporte les élections de 1965 ; son leader, le nouveau Premier ministre Ian Smith, réclame l’indépendance à la Grande-Bretagne, qui refuse de la lui accorder tant que les Noirs ne seront pas associés plus largement au pouvoir. Mais I. Smith proclame unilatéralement l’indépendance de la Rhodésie et, en 1970, la République. L’insécurité dans les zones rurales, entretenue par les maquisards des mouvements de libération, devient permanente. Finalement, un gouvernement de transition, formé en 1978, est chargé de préparer le transfert du pouvoir à la majorité noire. En 1979, le processus d’indépendance est finalisé. Aux élections multiraciales de 1980, la ZANU de R. Mugabe l’emporte sur la ZAPU de J. Nkomo.
La Rhodésie accède à l’indépendance sous le nom de Zimbabwe en 1980. En 1987, un régime présidentiel est instauré et R. Mugabe devient président de la république. En 1988, la ZAPU et la ZANU fusionnent et un parti d’opposition, le Mouvement de l’unité du Zimbabwe (ZUM) est créé. Dans les années 1990, la situation économique est inquiétante, avec une dette extérieure considérable et un fort taux de chômage. La hausse des prix des produits de base provoque des émeutes, et, en 1998, l’armée intervient pour rétablir l’ordre. Au lendemain de l’échec du référendum constitutionnel de février 2000 visant à consolider les pouvoirs du président, l’adoption par le Parlement d’une loi autorisant les expropriations des fermiers blancs sans indemnisation plonge le pays dans une grave crise politique et économique. 4 500 fermiers blancs sont expulsés et leur terres redistribuées, le plus souvent à des membres de la nomenklature dirigeants de la ZANU-PF ou des proches de la famille Mugabe. En 2001, à l’issue de négociations menées sous l’égide du Commonwealth, le Zimbabwe s’engage à mettre fin à l’occupation illégale des terres appartenant à des fermiers blancs et aux violences politiques. La Grande-Bretagne, en contrepartie, accepte de financer une réforme agraire.
L’élection présidentielle de 2002 fournit au régime prétexte à la mise en place d’un arsenal répressif assimilant toute contestation du régime à un acte “d’insurrection, de banditisme et de terrorisme” ; dans ce contexte, R. Mugabe est réélu dès le premier tour. Dénigrant les contestations qui déclarent le scrutin illégitime, le régime renforce sa répression en faisant assassiner plusieurs opposants. Le Zimbabwe est soumis à une série de sanctions et suspendu du Commonwealth. En 2008, au terme d’une parodie de scrutin, R. Mugabe, âgé de 84 ans dont 28 à la tête du pays, est déclaré réélu pour un sixième mandat. Afin de sortir le pays de la profonde crise politique, économique et sociale dans laquelle il se trouve, le président sortant et son ex-opposant, M. Tsvangirai, signent un accord de partage du pouvoir. S’en suit une amélioration de l’environnement économique et de la sécurité alimentaire. En 2013, après avoir été approuvée par référendum, une nouvelle constitution entre en vigueur. Relativement libéral et limitant l’élection du président à deux mandats successifs, le texte est un préalable aux élections générales qui se tiennent en juillet. Bien qu’entachées d’irrégularités manifestes, mais jugées globalement libres et crédibles par les observateurs, elles donnent la majorité à la ZANU-PF, tandis que R. Mugabe est réélu pour cinq ans !

Le Zimbabwe doit son nom aux célèbres ruines d’un imposant ensemble architectural en pierre sèche — unique par ses dimensions en Afrique bantoue — situé au sud du pays. Lors de la décolonisation en 1980, les mouvements de libération africains choisirent le nom “Zimbabwe” à la place de “Rhodésie” donné en l’honneur de Cecil Rhodes, artisan de la colonisation britannique. Un nom africain évoquant une ancienne civilisation noire remplaçait ainsi un nom célébrant la conquête européenne.

Bon à savoir

Informations pratiques

Le Braaï
Les expatriés comme la population locale observent cette coutume depuis des décennies. C'est un barbecue en famille ou entre amis, devenu vraiment courant au Zimbabwe.

Le Bottle store

On achète ses bouteilles d'alcool dans des magasins spécialisés ! Les bottle stores sont implantés dans toutes les villes et villages et dans la plupart des stations-service.

La sadza
est le plat le plus populaire. C'est une pâte à base de maïs, de consistance plus ou moins dure, de couleur blanche, elle est raffinée et de couleur sable quand elle contient à la fois la farine et le son. La sadza se déguste accompagnée de légumes verts, de viandes, de poissons... Les Zimbabwéens en mangent du matin au soir !

La circulation routière
Ancienne colonie anglaise, le Zimbabwe a gardé le code de la route britannique : on conduit à gauche. Cependant, on laisse la priorité à droite aux carrefours non réglementés.

Les combis
Il s'agit de vieux minibus et véhicules en tout genre, sans aucune signalisation. Ils conduisent les voyageurs d'un bout à l'autre pour quelques cents seulement.

Les fleurs
Le Zimbabwe est un grand producteur de fleurs et particulièrement de roses, mais aussi de protéas, l'emblème de l'Afrique du Sud. Les protéas poussent surtout dans les hautes terres de l'Est. Les hôtels de la région rivalisent de compositions plus magnifiques les unes que les autres. Si votre parcours vous amène dans ces lieux reculés, ne manquez pas d'aller contempler quelques instants les myriades de buissons blancs, roses et oranges ornant les pentes des monts brumeux.

La "génération"
" D'où êtes-vous ? ". Pour répondre à cette question, les gens font souvent référence au mot " génération " . Dans les transports, autour d'un feu de camp ou dans un Tea garden, il est quasiment impossible de ne pas entendre une ou plusieurs fois ce mot au cours d'une discussion. " Je suis Zimbabwéen de la première génération, ma mère vient d'Afrique du Sud, mon père du Royaume Uni. " " Moi je suis Zimbabwéen de la troisième génération, mes arrières grands-parents viennent d'Ecosse".

Mum
Dans la rue, une personne qui souhaite se renseigner, aborde une autre, avec respect et toujours avec un petit mot bien choisi, du genre " Boss ", " Sister ", " Brother " " Mum " ou " Papa ". Les deux derniers termes constituent le summum du respect et ne font pas forcément référence à l'âge, bien qu'ils fassent référence aux parents, les êtres les plus chers du monde. Mesdames, ne prenez donc pas cela comme un signe de vieillesse, mais plutôt comme un signe d'accueil et de politesse, ancré dans la tradition du pays.

Electricité
Tension électrique : 220 - 240 V, 50 Hz. Prévoyez un adaptateur pour les prises électriques.

Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Prévoir une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries.
Nous vous conseillons d'emporter des jumelles d'approche pour admirer la faune dans les parcs, ainsi qu'un téléobjectif si vous en possédez un.
 
Quelques mots utiles
Les Zimbabwéns parlent l’anglais, le shona ou le sindebele, toutes trois langues officielles. Apprendre quelques mots clés en shona, qui fait partie de la famille des langues bantoues, vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, et de rendre plus agréables vos échanges avec les populations rencontrées. Alors n’hésitez pas à faire l’effort d’utiliser les expressions suivantes :
Bonjour (le matin) : mangwanani.
Bonjour (l'après-midi) : masikati.
Bonsoir : manheru.
Merci : ndatenda / mazvita.
S'il vous plaît : ndapota
Au revoir : chisarai zvakanaka.
Vous pouvez demander à votre guide comment les prononcer, votre voyage n’en sera que plus riche ! Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d'avoir de bons contacts !

Bibliographie

Site Internet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Géographie_du_Zimbabwe.
 
Guides
Zimbabwe, Botswana and Namibia, Lonely Planet, en anglais.
Afrique australe, Lonely Planet.

Ouvrages illustrés
Afrique australe, l’avenir d’un monde sauvage, Peter Godwin et Chris Johns, préface de Nelson Mandela, National Geographic Society.

Récits, littérature
Rires d’Afrique, voyage au Zimbabwe, Doris Lessing, Albin Michel.
La Ligne de front, un voyage en Afrique australe, Jean Rolin, La Table Ronde.
Ombres, Chenjerai Hove, Actes Sud.
            
Carte
Zimbabwe 1/1 100 000, ITM, 2002.

Tourisme responsable

Le respect des us et coutumes

Zimbabwe signifie " la maison de pierre " en langue shona. Dans ce pays, les traditions se sont adaptées à une modernité occidentale, avec notamment une élégante influence anglaise. Loin du désordre habituel qui caractérise certaines grandes villes du continent africain, ici, pas de motos, les routes sont excellentes, on trouve des écoles partout et le tea time est de rigueur, y compris dans les huttes des campagnes reculées ! Le Zimbabwe révèle l'immensité du continent africain et sa multitude de pays, d'histoires et de cultures différentes.

Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.

Ces précautions favorisent les échanges.

La préservation de l'environnement

Les parcs animaliers abritent les big five (buffle, lion, éléphant, rhinocéros, léopard), et aussi antilopes, crocodiles du Nil, des myriades d’oiseaux communs ou exotiques, nombre d’espèces de serpents (python, vipère du Gabon, mambas noir et vert) et de lézards de variétés multiples. L’éléphant est cependant, et probablement l’animal emblématique du Zimbabwe en raison de ses populations nombreuses, en particulier, dans le plus grand des parcs, le Hwange.
La végétation zimbabwéenne est assez variée. Une grande partie du pays est couvert de bushveld (savane), avec certaines régions qui se démarquent. Les Eastern Highlands sont recouvertes par endroits d’immenses forêts de pin, de rochers de grès ponctués des pics qui transpercent le paysage, le tout parcouru par des petites rivières... Près du Vumba poussent de vraies forêts tropicales, lianes et fougères géantes. Au sud et au sud-est, on peut trouver des baobabs. Poussent également jacarandas, bananiers, flamboyants, bougainvillées, aloès, acacias.

Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire. 
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
 
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.

Des voyages 100 % carbone absorbé

Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...