Hongrie

Repères

Population

9,7 millions d'habitants.

Superficie

93 029 klm2.

Capitale

Budapest.

Villes principales

Debrecen, Miskolc.

Point culminant

mont Kékes (monts Matrà) 1014 m.

Langue officielle

hongrois.

Religion

christianisme : catholicisme (75%), protestantisme (20 %).

Décalage horaire

par rapport à la France, aucun décalage horaire. UTC/GMT : + 1 h.

Géographie

La Hongrie a des frontières communes avec l’Autriche à l’ouest, la Serbie, la Croatie et la Slovénie au sud et sud-ouest, la Roumanie au sud-est, l’Ukraine au nord-est et la Slovaquie au nord. Le territoire s’étend sur 250 kilomètres du nord au sud et 524 d’est en ouest, et prend place au cœur du bassin de Pannonie, fermé à l’ouest par les derniers contreforts des Alpes, au nord et à l’est par l’arc des Carpates et au sud par les Balkans. 70 % de la superficie sont constitués de plaines et le reste consiste en monts de petite altitude dont seulement 2 % dépassent les 400 mètres. Les principaux cours d’eau sont le Danube et la Tisza. La Hongrie a plusieurs ensembles de lacs dont le plus grand d’Europe centrale, le lac Balaton qui est une destination réputée pour les touristes ainsi que le plus grand lac thermal du monde (47 500 m2). Le lac de Tapolca (en hongrois : Barlangtó) est réputé car c’est un lac souterrain.

Climat

Le climat tempéré présente un caractère méditerranéen au sud, continental à l'est et atlantique à l'ouest.
La Trans-danubie méridionale connaît des étés longs et des hivers doux et humides. C'est dans la Grande Plaine que les différences saisonnières sont les plus marquées : hivers froids et venteux, étés chauds et généralement secs. A Budapest et en Trans-danubie occidentale, il peut régner l'été une chaleur étouffante alors que les hivers relativement brefs, sont souvent nuageux, mais parfois très ensoleillés ! La température moyenne tourne autour de 11°C, janvier étant le mois le plus froid (- 2°C), juillet le plus chaud (28°C).

Économie

La Hongrie adopte après la Seconde Guerre mondiale les principes de l’économie socialiste centralisée de type soviétique. A la suite des nationalisations, une planification est introduite, accompagnée d’une industrialisation rapide. Dans l’agriculture, les coopératives se développent. Cependant, la Hongrie a connu un développement économique particulier avec des phases successives de libéralisation (en 1957, 1966, 1980) ; un intéressement des travailleurs a contribué à une nette amélioration de la productivité. Dans le cadre de la division internationale du travail entre les Etats membres du Comecon, la Hongrie est chargée de produire des moyens de transports (camions, autobus, matériel ferroviaire, moteurs).
La Hongrie a été le premier Etat du bloc socialiste à s’engager dans la mise en place progressive de l’économie de marché. Le mouvement s’est accéléré à partir de 1988.
L’agriculture associe céréales (blé et surtout maïs) et élevages variés ; localement, la viticulture est présente. Le sous-sol fournit du lignite, du gaz naturel et de la bauxite. L’industrie est dominée par la métallurgie de transformation, devant la chimie et l’agroalimentaire. Le secteur secondaire et plus encore les services sont présents à Budapest. Le tourisme culturel et climatique apporte un complément de ressources appréciable. La Hongrie offre aux touristes le charme et les facilités d’accueil de sa capitale, la séduction du Danube, la beauté architecturale de ses vieilles villes.

Société

La Hongrie se caractérise par une densité de 108 habitants par kilomètre carré, et la domination écrasante de sa capitale avec 1 700 000 habitants. La population diminue depuis 1981 ; l’immigration compensant à peine la faible natalité, c’est une préoccupation du gouvernement.
Bien installés depuis plus de mille ans dans la vallée du Danube, les Magyars présentent une population relativement homogène. Depuis le traité de Trianon (1920), plus de 3,5 millions de Hongrois de souche vivent au-delà des frontières nationales, pour la plupart en Transylvanie (Roumanie) et en Slovaquie ; le sort des Hongrois en dehors des frontières nationales préoccupe les Hongrois du pays. En 2011, une loi sur la nationalité hongroise est entrée en vigueur, prévoyant l’octroi facilité de la nationalité hongroise aux citoyens étrangers attestant de leur origine hongroise.
Le territoire hongrois, témoin de nombreux brassages de populations, comprend treize minorités reconnues par les autorités : Roms (6 % de la population), Allemands (2,6 %), Serbes (2 %), Slovènes et Croates (0,8 %), Slovaques (0,7 %), Roumains. A cela s’ajoutent quelques milliers de Polonais, d’Arméniens, de Grecs, de Bulgares, d’Ukrainiens et de Ruthènes.
Rares sont les Roms à s'exprimer couramment en romani, mais tous demeurent fidèles aux traditions propres à leur communauté. Nombreuses ont été les victimes à périr lors de la Shoah. La délinquance et le chômage, ainsi que la natalité, sont très élevés au sein de la communauté ; leur espérance de vie est de 10 ans inférieure à celle des Hongrois non-Roms. Plusieurs rapports bruxellois et onusiens ont interpellé la Hongrie au sujet du traitement qu’elle réserve à sa plus grande minorité. De l’avis des politiques hongrois, c’est un problème majeur, les Roms sont par ailleurs stigmatisés par l’extrême droite.

L'histoire du pays

L'histoire
Au IVe siècle avant J.-C., aux Illyriens et aux Thraces, s'ajoutent les Scythes et les Celtes puis, au Ier siècle, les Romains qui occupent la rive occidentale du Danube. Ils sont chassés en 271 l'arrivée des Ostrogoths, eux-mêmes contraints de quitter la région en 409 par la poussée des Gépides, Huns et Avars à l'est. Au VIe siècle arrivent les Slaves puis, au IXe siècle, des tribus magyares. A la fin du Xe siècle, le prince Géza impose sa domination sur toutes les tribus et se fait baptiser avec toute sa famille. A sa succession, Vajk, futur Etienne Ier de Hongrie, défend l'alliance avec l'Europe occidentale et l'église de Rome. Ainsi, son couronnement en l'an 1000 signe la naissance du royaume de Hongrie et son inscription dans le giron occidental. Le système tribal est disloqué au profit d'une organisation en comitats (vármegye), encore en vigueur de nos jours. Sous le règne de Ladislas Ier de Hongrie, le royaume intègre la Slavonie, la Croatie et la Dalmatie. La politique d'expansion, poursuivie par Carloman Ier jusque dans les Balkans et vers le Bas-Danube, est contrariée par la puissance byzantine. Au milieu du XVe siècle, la Hongrie est un pays de 4 000 000 d'habitants, prospère malgré le contrôle commercial exercé par les Allemands.
Suite à sa défaite en 1526 face à l'Empire ottoman, le royaume de Hongrie est divisé en deux, puis en trois parties. Ferdinand Ier d'Autriche s'empare de la Haute-Hongrie (actuelle Slovaquie) et de l'ouest du royaume tandis que le voïvode de Transylvanie conserve le centre et l'est ; en 1540, Soliman le Magnifique occupe la plaine danubienne et prend Buda ; la principauté de Transylvanie a le choix entre deux vassalités : les Autrichiens ou les Turcs ; les voïvodes choisissent la seconde option, qui leur laisse plus d'indépendance, tant politique que religieuse. Mais au XVIIe siècle, la politique belliqueuse de Georges II Rákóczi contre la Pologne et les territoires turcs en Hongrie centrale provoque une réaction des Ottomans qui alourdissent la vassalité de la Transylvanie.
La Hongrie royale tombe alors définitivement sous la coupe de l'Autriche. Sous Léopold Ier d'Autriche, la Hongrie royale est ravagée par une guerre civile opposant la noblesse et la paysannerie au nouveau pouvoir central autrichien. L'insurrection contenue par les armées autrichiennes est suivie par un vaste soulèvement mené par le prince transylvain François II Rákóczi, proclamé prince souverain en 1704. Les magnats hongrois négocient alors un compromis avec la maison autrichienne et favorisent l'arrivée au pouvoir de Charles VI d'Autriche. En 1715, celui-ci proclame ainsi l'indivisibilité de la Hongrie. Après plusieurs tentatives des souverains autrichiens de réformer l'administration et imposer l'allemand comme langue de la Cour, Léopold II d'Autriche reconnaît en 1792 la spécificité des lois et des coutumes hongroises.
Mais les idées libérales et nationales donnent naissance à un courant réformiste important, revendiquant l'égalité devant la loi et devant l'impôt et la fin des privilèges. Ce courant incarné par les révolutionnaires Ferenc Kölcsey, Ferenc Deák et Lajos Kossuth, proclament, en 1848, l'unification de la Hongrie, comprenant la Hongrie royale, la Croatie et la Transylvanie, et revendiquent l'indépendance. Mais, en Croatie et Transylvanie, les révolutionnaires locaux réclament leur propre indépendance. Alors que l'indépendance de la Hongrie est proclamée, l'Autriche fait appel au tsar Nicolas Ier de Russie pour mater le gouvernement révolutionnaire. Les Habsbourg imposent leur pouvoir par la force. En 1866, l'affaiblissement de l'Empire sur le front italien et la défaite contre la Prusse les incitent à apaiser les tensions internes ; cela aboutit au Compromis austro-hongrois de 1867 et à la naissance de l'Autriche-Hongrie. L'Empire d'Autriche est alors partagé entre l'Autriche d'une part et l'ancien royaume de Hongrie d'autre part.
La Hongrie se dote d'un système bicaméral : une Chambre des magnats et une Chambre des représentants, mais elle reste liée à l'Autriche par la dynastie Habsbourg et la concentration des affaires étrangères, des finances et de la guerre au sein d'un ministère d'Empire. Les privilèges des magnats et le système électoral laissent les minorités non-magyares, soit 55 % de la population, sans représentation parlementaire, et de plus, la politique de magyarisation forcée des minorités dresse les Croates, les Slovaques, les Ruthènes, les Roumains, les Serbes et même les Allemands contre les Hongrois.
L'Autriche-Hongrie ayant perdu la Première Guerre mondiale est le premier Etat visé par le président américain Woodrow Wilson pour démembrer cet empire multiculturel. Après des émeutes à Budapest en 1918, un Conseil national, composé d'indépendantistes, de sociaux-démocrates et de radicaux, mené par Mihály Károlyi proclame la République démocratique hongroise en 1918. Mais le gouvernement ne parvient pas à empêcher les minorités de proclamer leurs propres indépendances ou unions avec des pays voisins.
En 1919, les communistes de Béla Kun, alliés aux sociaux-démocrates, prennent le pouvoir et proclament la République des conseils de Hongrie, deuxième régime communiste de l'histoire après la Russie soviétique. Le régime ne dure que trois mois. L'après-guerre ouvre une période paradoxale pour le pays : d'une part, elle signe l'émancipation de la Hongrie et le recouvrement de sa souveraineté, et d'autre part, l'ancienne Hongrie royale se voit amputée de 32 % de magyarophones et des deux tiers de son territoire, dont son accès à la mer, la totalité de ses mines d'or, d'argent, de mercure, de cuivre et de sel, cinq de ses dix villes les plus peuplées et entre 55 % et 65 % des forêts, ses voies ferrés, ses usines, ses canaux, ses minerais des fer, ses institutions bancaires et ses terres cultivables, en vertu de l'application du traité de Trianon en 1920. Cette partition se fait au nom de deux principes : celui d'Etat-nation cher aux Etats-Unis et celui de la permanence des frontières cher aux géographes français. C'est ce dernier principe qui motive les congressistes à céder ainsi à la Tchécoslovaquie les rives septentrionales du Danube pourtant majoritairement peuplées de Hongrois. A la tête d'un royaume sans roi, l'amiral Miklós Horthy instaure une période de régence aux orientations très conservatrices qui le rapproche de l'Allemagne nazie en 1940. La Hongrie récupère le nord de la Transylvanie au détriment de la Roumanie en août 1940, puis participe en 1941 à l'invasion de la Yougoslavie, récupérant ainsi la Voïvodine et s'engage ensuite sur le front de l'est lors de l'invasion de l'URSS.
En 1944, bien que Miklós Horthy proclame sa neutralité, la Hongrie est envahie à l'ouest par l'Allemagne, qui renverse Horthy et le remplace par le dirigeant hungariste Ferenc Szálasi, chef du parti fasciste hongrois. Les Soviétiques et les Roumains chassent les Allemands de Hongrie en 1945. Occupée par l'URSS, la République hongroise est soumise à une prise de pouvoir progressive par les communistes hongrois dont les Soviétiques imposent la présence au sein du gouvernement de coalition de l'après-guerre. Mátyás Rákosi, secrétaire général du Parti des travailleurs hongrois, devient le dirigeant de la République populaire de Hongrie, nouveau régime communiste officiellement proclamé en 1949. En 1956, la Hongrie se soulève contre l'URSS, l'insurrection de Budapest est écrasée par l'armée soviétique, tuant 3 000 personnes et entraînant le départ de plus de 200 000 Hongrois. János Kádár devient Premier ministre et premier secrétaire du Parti socialiste ouvrier hongrois, nouveau nom du parti unique. En 1968, Kádár ouvre l'économie administrée à un petit secteur privé. En 1988, János Kádár, malade, doit quitter le pouvoir.
Le communiste réformateur Miklós Németh prend sa succession. En 1989, la Hongrie autorise le démantèlement du rideau de fer à la frontière autrichienne, le Parti socialiste ouvrier hongrois est dissous et remplacé par le Parti socialiste hongrois, le président de la République Mátyás Szrös met fin à la République populaire de Hongrie et proclame solennellement la nouvelle République de Hongrie.
Après la chute de l'Union soviétique en 1991, la Hongrie rejoint le giron de l'Europe occidentale et adhère à l'OTAN en 1999 et à l'Union européenne en 2004. Alors que les deux décennies de la transition sont marquées par un jeu politique équilibré entre la gauche et la droite à la tête du pays, le parti conservateur Fidesz-MPSz remporte les élections parlementaires à une écrasante majorité au printemps 2010. Marginalisés, les partis progressistes MSzP et LMP ne parviennent pas à empêcher le Premier ministre Viktor Orbán de faire adopter en 2011 une nouvelle loi fondamentale. Entrée en vigueur le 1er janvier 2012, elle inscrit dans le marbre de nombreuses dispositions très conservatrices. Ce changement constitutionnel laisse entrevoir le retour d'un Etat fort.

Bon à savoir

Informations pratiques

Le cukrászda
A mi-chemin entre le salon de thé et le café, on vient dans les cukrászda (prononcer " tsoukrasda ") pour y déguster quelques douceurs comme les rétes (strudels à pâte fine fourrés aux fruits, au pavot ou au fromage blanc), stemények et torták (gâteaux et tartes). Les Hongrois aiment s'y rendre en famille ou entre amis, dans l'après-midi, en soirée ou en fin de semaine. Le tout se déguste accompagné d'une tasse de café ou de chocolat.  

Le gulyás
Cette appellation (" gouliach " en hongrois) désigne une soupe de viande (boeuf) avec des oignons, des carottes, du paprika et des pommes de terre en morceaux.

La pálinka
Eau-de-vie distillée. La pálinka peut être d'abricot, de poire, de prune, de cerise, de pomme...

Le túró rúdi
Cette petite barre de fromage blanc, recouverte de chocolat, est la sucrerie préférée des Hongrois. On ne passe pas une journée sans en manger une, deux ou plus. S'achète dans les supermarchés et les épiceries.

Electricité
Tension électrique : 220 V, 50 Hz. Les prises électriques sont de type français.

Que doivent prévoir les amateurs de photos ?

Prévoir une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries. 

Quelques mots utiles
Apprendre quelques mots clés en hongrois vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, de faciliter et de rendre plus agréables vos échanges avec eux. Alors n’hésitez pas à utiliser les expressions suivantes :
Bonjour :  jó napot !
Salut : szia !
Bonsoir : jó estét !
Oui :  igen
Non : nem
Merci :  köszönöm
Vous pouvez demander à votre guide comment les prononcer, votre voyage n’en sera que plus riche. Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d’avoir de bons contacts ! 

Tourisme responsable

Le respect des us et coutumes

La société hongroise est proche des sociétés libérales européennes. Les femmes ont une place presque égale à celle des hommes, elles sont nombreuses à travailler.

Voici quelques conseils pour respecter au mieux la population et sa culture :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.

La préservation de l'environnement

Les cultures occupent 70% du territoire, les forêts seulement 14%, avec une dominante de hêtres et de chênes et relativement peu de conifères. Parmi les animaux les plus répandus, on trouve les cerfs, les lièvres, les sangliers et les loutres, ainsi que quelques espèces rares telles que le chat sauvage et le lézard pannonien. Les principaux vertébrés du pays restent toutefois les oiseaux, en particulier les oiseaux aquatiques qu'attirent les nombreux cours d'eau, lacs et zones humides. Il existe cinq parcs nationaux et environ un millier de régions protégées.

Pour conserver ce patrimoine naturel d’exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc. 
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Dans le cadre d'une démarche responsable, évitez l'achat de bouteilles en plastique. Nous vous conseillons de prévoir une gourde personnelle que vous pourrez remplir.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre, pour éviter une surconsommation énergétique.

Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.

Des voyages 100 % carbone absorbé

Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...