
Laos
Encore peu visité, le Laos est un pays qui a conservé un caractère authentique, aidé en cela pas le faible développement du réseau routier dans les montagnes du Nord. Les fleuves et les rivières du pays constituent les principales artères de communication. Le Mékong, l’un des plus longs fleuves d’Asie, parcourt intégralement le pays du nord au sud, de la frontière sino-thaïlandaise à la frontière cambodgienne.
La ville de Luang Prabang, classée au patrimoine mondial de l’humanité, est unique en son genre. Dans une atmosphère paisible de petite ville de campagne, chaque coin de rue révèle un nouvel édifice religieux somptueux aux toits couverts de feuilles d’or étincelant dans le soleil couchant.
Au pays de la douceur de vivre, nature et culture sont autant de promesses de découverte…

Repères
Population |
6,7 millions d’habitants. |
Superficie |
236 800 km2. |
Capitale |
Vientiane. |
Villes principales |
Savannakhet, Luang Prabang, Paksé. |
Point culminant |
Phou Bia (2 830 m). |
Langues |
lao (off.), français. |
Religion |
bouddhisme du petit véhicule (66 %), animisme (40 %), christianisme (2 %). |
Décalage horaire |
par rapport à la France, cinq heures de plus d’avril à octobre, six heures de plus de novembre à mars. UTC/GMT : + 7 h. |
Géographie
Le Laos est enclavé au cœur de la péninsule indochinoise. Il est bordé à l’est et au nord par le Vietnam et la Chine, et limité à l’ouest et au sud par la Birmanie (Myanmar), la Thaïlande et le Cambodge.
Arrosé par le Mékong, peu navigable à cause de son débit irrégulier et qui forme en grande partie la frontière avec la Thaïlande, le pays s’étend du nord au sud sur 1 000 kilomètres, des confins de la Chine à la frontière du Cambodge. Il n’atteint parfois qu’une centaine de kilomètres de large. Le Mékong traverse le Laos sur 1 898 kilomètres et dessine le principal axe du pays.
Les montagnes et les plateaux occupent plus de 70 % du pays. Le point culminant du Laos, le Phou Bia, se trouve au sud du plateau de Xieng Khouang. Une quinzaine d’autres sommets dépassent 2 000 mètres.
Climat
On peut se rendre au Laos, pays tropical humide soumis à un régime de mousson très complexe, toute l’année. Si vous le parcourez du nord au sud, vous rencontrez du beau temps et de la pluie, mais en des lieux différents suivant la période choisie.
Pendant la saison sèche, de novembre à avril, les températures varient entre 5 et 20 °C, selon l’altitude (bien qu’elles puissent descendre à 0 °C sur le plateau de Xieng Khouang en décembre et janvier).
De mai à octobre, période de la mousson d’été, c’est l’éclosion de la végétation, la saison des lumières magnifiques et des paysages verdoyants d’une extrême beauté, en particulier les rizières dont la récolte arrive à maturité. Les températures moyennes varient entre 30 °C dans les basses terres à environ 25 °C dans les montagnes. En mars et avril, dans les plaines les plus basses, les températures peuvent dépasser 35 °C.
Économie
L’économie ne s’est ouverte au marché qu’en 1986. Le secteur agricole, le plus important, occupe 80 % des actifs et représente 40 % du PIB. Les principales cultures sont vivrières (riz, maïs, féculents), tandis que le café, les arachides, le coton et le tabac sont destinés à la commercialisation. Ressource traditionnelle, l’élevage de bœufs et de porcs, qui avait régressé, connaît un nouvel essor. La forêt (47 % du territoire) fournit de grosses recettes d’exportation, mais souffre d’un abattage excessif. Les ressources minières (étain, fer, cuivre, houille, manganèse, or, émeraudes, saphirs, gypse), bien que difficiles d’accès, intéressent les investisseurs. L’énorme potentiel hydroélectrique est encore sous-exploité, malgré de nombreux projets, et même si l’électricité, achetée par la Thaïlande, constitue la principale exportation. L’industrie représente 34 % du PIB, et est récente pour l’essentiel. Ce sont principalement des entreprises des secteurs textiles, de l’exploitation du bois, de l’industrie agroalimentaire. Le tourisme est encore peu développé.
Société
Faiblement urbanisée, la population est rassemblée, pour les deux
tiers, dans les vallées et les plaines, qui ne représentent pourtant qu’un tiers du territoire. Son taux d’accroissement annuel (2,3 %) est
comparable à celui des pays voisins, bien que ses taux de natalité et de
mortalité infantile (due à la malnutrition) soient plus élevés.
Historiquement habituée aux déplacements de populations – déportation
des vaincus sur le territoire des vainqueurs –, la population du Laos a
subi, entre 1960 et 1980, d’importants mouvements d’émigration liés à la
guerre du Vietnam et à l’instauration du régime communiste.
Sous-peuplé,
surtout dans les zones montagneuses, le Laos est habité par 68 ethnies qui sont classées officiellement, en trois groupes principaux :
— les Lao-Lum, ou Laos des plaines (35 ethnies et 68 % de la
population), dont fait partie l’ethnie lao à proprement parler, qui
parle lao, ainsi que les ethnies similaires qui parlent le thaï ;
— les Lao-Theung ou Laos des versants, parfois appelés péjorativement
Khas, mot qui signifie “esclave” en lao, ce qui traduit bien leur statut
défavorisé dans la société (25 %). Ils incluent 31 groupes ethniques ;
— les Lao-Sung ou Laos des sommets (7 %), qui regroupent les Hmongs (ou
Méos), principale ethnie minoritaire du pays, les Yaos (Mien), les Black
Thaïs, les Daos, les Shans et d’autres tribus tibéto-birmanes.
Le bouddhisme est la religion dominante, mais
l’animisme est également très répandu, surtout parmi les montagnards.
L'histoire du pays
La plus grande partie du territoire occupé aujourd’hui par le Laos appartient jusqu’au XIIIe siècle au royaume du Cambodge, qui y introduit la civilisation indo-khmère. A la fin du XIIIe siècle, le royaume thaï étend sa domination vers l’est jusqu’à Luang Prabang et Vientiane.
La formation d’un Etat laotien indépendant, le royaume de Lan Xang
(“Million d’éléphants”), est favorisée par l’affaiblissement du royaume thaï au milieu du XIVe siècle. Le prince Fa
Ngum, fils d’un chef thaï du haut Mékong, qui a trouvé refuge à la cour
d’Angkor, où il a épousé une princesse khmère, prend le commandement d’une armée khmère et se fait sacrer roi à
Luang Prabang (1353). Il étend ses
possessions jusqu’au Yunnan et au nord-est du Siam, et favorise
l’introduction du bouddhisme cinghalais. La mort de son fils (1416)
est suivie d’une période d’instabilité jusqu’en 1637, date à laquelle Sourigna Vongsa rétablit la paix dans le royaume. La mort de ce dernier en 1694
entraîne entre ses descendants une querelle qui va mettre fin à l’unité
et à l’indépendance du Laos pour plus de deux siècles. Ainsi voient le jour au début du XVIIIe siècle les royaumes de Vientiane, de Luang Prabang
et de Champassak qui passent sous diverses suzerainetés.
En 1861, le roi accueille à Luang Prabang le
Français Henri Mouhot, qui a retrouvé, l’année précédente, les temples
d’Angkor. L’expédition de Doudart de Lagrée, chargée de remonter le
Mékong, arrive à son tour en 1867. Après l’instauration du protectorat français sur
l’Annam (1883), la nomination
d’un vice-consul à Luang Prabang, le roi demande le protectorat de
la France qui sera reconnu par les traités de
1893, 1902 et 1904. Le pays restera le parent pauvre de l’Indochine française. En 1945, le vice-roi, leader d’un mouvement
d’indépendance nationale, le Lao Issara (Laos libre), réaffirme
l’indépendance du royaume et annonce
l’unification du pays. Le roi doit abdiquer. Mais
les troupes françaises reprennent Vientiane en 1946,
chassent les nationalistes et remettent le roi sur le trône. En 1949, le Laos obtient le statut d’”Etat associé
indépendant” au sein de l’Union française et intègre les Nations unies ; pour la première fois de son histoire, il est reconnu
internationalement. En 1950, un gouvernement clandestin d’obédience communiste du Pathet Lao est créé avec le soutien des communistes vietnamiens. En 1953, le Laos accède à l’indépendance totale.
De 1964 à 1973, le conflit au Vietnam provoque d’intenses bombardements sur l’est du Laos où sont installées les bases arrières du Vietminh ; les services spéciaux américains soutiennent les maquis anticommunistes et équipent une armée
royale peu efficace, mais dont les effectifs atteindront 100 000 hommes. Les
négociations aboutissent à la
conclusion d’un accord de cessez-le-feu et de paix (1973) qui prévoit
la formation d’un gouvernement provisoire d’union nationale (GPUN) et d’un
conseil consultatif politique, le retrait de toutes les forces
étrangères. Les relations devront
être graduellement restaurées entre les deux zones, celle de Vientiane,
qui borde le Mékong, et celle du Pathet Lao, qui recouvre les deux tiers
du royaume. Les militaires américains et thaïlandais se retirent, mais
ce ne sera pas le cas des Nord-Vietnamiens, en particulier de ceux qui
gardent la piste Hô Chi Minh.
En 1975, après deux ans de tensions croissantes, le
GPUN est dissous, le parti révolutionnaire populaire lao (PPRL) prend le
pouvoir et proclame la République démocratique populaire lao. Un vaste exode de population (près de 10 %)
commence. Le Laos signe avec l’URSS des accords
économiques, et obtient l’aide dont il a grand besoin. Dès 1976, le gouvernement lance une politique de collectivisation du commerce puis de
l’agriculture. Trop hâtive et coercitive, celle-ci tourne rapidement à
l’échec. Dès 1979, le gouvernement corrige le tir, en rétablissant partiellement
l’économie de marché et en choisissant la détente politique.
Après les élections de 1989 et 1991,
l’Assemblée nationale adopte une constitution conservant au PPRL un rôle
absolu et donnant de larges pouvoirs au Président ; la priorité demeure le
développement économique. Le pays reste confronté aux mêmes
difficultés : les rebelles hmongs demeurent actifs, et les problèmes
sociaux (aggravation des inégalités entre les communautés et les
régions, détérioration de l’environnement, augmentation de la
criminalité, etc.) fragilisent la croissance, l’économie de plus en plus dépendante de l’aide
internationale et de l’argent des expatriés.
En 2006, lors des élections législatives, la quasi totalité des députés élus sont membres du parti. En avril 2011, le scénario se répète avec l’élection
de la nouvelle Assemblée nationale : 132 députés dont 45 issus de la
précédente chambre et 128 membres du PPRL, sont élus tandis que le Président et le Premier ministre nommé
en décembre 2010, membres du parti, sont reconduits dans leurs fonctions.
Bon à savoirInformations pratiques
Les temples bouddhiques
Les temples, appelés wat, tiennent une place importante dans la
société laotienne. Autrefois, ils pouvaient servir d’école ou d’auberge
où le voyageur pouvait se reposer. Aujourd’hui, c’est aussi bien un
lieu de culte qu’un lieu de rencontres. Chaque village possède son
temple, construit avec les dons des fidèles. Les temples laotiens ont des lignes simples et
légères, tout en étant raffinés et élégants. Au Laos, on distingue
trois principaux styles, selon la forme générale du bâtiment et de la
toiture : les styles de Vientiane, de Luang Prabang et de Xieng Khouang.
Le“Couvre-feu”
Officiellement, ce sont des mesures pour lutter contre l’alcoolisme des
jeunes, mais les Laotiens commencent à boire à 17 heures au lieu de
19 heures... Officieusement, il y a plusieurs interprétations, a
priori politiques. Les restaurants doivent fermer vers 23 heures ou 23 h
30, tandis que les bars et les boîtes de nuit ont une tolérance jusqu’à
minuit.
Quels sont les souvenirs à rapporter ?
Les sculptures traditionnelles en bois, pierre ou en os, les objets en argent, spécialement à Luang Prabang, les textiles, en particulier coton, et soie pour les pah sin, écharpe entourant le sarong porté par les femmes lao. Evitez d’acheter des objets en ivoire, d’anciens portraits de Bouddha, des reliques de temples... Ils sont une partie irremplaçable de l’héritage culturel du Laos, leur exportation est strictement interdite.
Tension électrique : 220 V, 50 Hz. Les prises de courant sont plates comme le modèle britannique, mais compatibles avec les prises françaises avec 2 têtes. Vous n'aurez pas besoin d'un adaptateur. L'électricité se trouve partout au Laos même dans les petits villages où vous passerez la nuit. Cependant, les coupures de courant peuvent être fréquentes.
Quelques mots utiles
Apprendre quelques mots clés vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, de faciliter et de rendre plus agréables vos échanges avec les Laotiens rencontrés. Alors n’hésitez pas à faire l’effort d’utiliser les expressions suivantes :
Bonjour : sabaï diii. Pour répondre au bonjour : sabaï diii.
Oui : Doaé.
Non : boh.
Merci : kôp tchaï.
Je t’aime : koï yak yaô.
Au revoir : la kônn.
Vous pouvez demander à votre guide comment les prononcer, votre voyage n’en sera que plus riche ! Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d’avoir de bons contacts...
Bibliographie
Sites Internet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Laos.
http://www.routard.com/guide/lao.
http://ambafrance-laos.org/france_laos.
http://www.voyagesphotosmanu.com/faune_flore_laos.html.
Guides
Laos, Footprint, Gallimard.
Laos, Lonely Planet.
Le Laos, Eléonore Brisbois, L’Adret.
Laos-Cambodge, Bibliothèque du voyageur Gallimard.
Le Laos, Carine Hahn, Karthala.
Récits, littérature
Voyage en Indo-Chine et dans l’Empire chinois, exploration du Mékong par Ernest Doudart de Lagrée et Francis Garnier, Louis de Carné, Olizane.
Voyage dans les royaumes de Siam, de Cambodge et de Laos, Henri Mouhot, Olizane.
Peuples d’en haut, Collectif, Autrement.
Au royaume du million d’éléphants, exploration du Laos et du Tonkin, 1887-1895, Auguste Pavie, L’Harmattan.
L’Homme du Mékong, Jules Harmand, Phébus.
Sao Van Di, suivi de Raffin Su-Su : mœurs laotiennes, Jean Ajalbert, Kailash, 2003.
Ouvrages illustrés
Laos, Michel Huteau, Anako, 1996.
La Caravane des éléphants, Thierry Renavand et Sébastien Duffillot, Actes Sud.
Lao, peuple des hauteurs, Sophie Ladame et Lionel Vairon, Cacimbo.
Peuples d’Indochine, Patrick Bernard, Anako.
Sur le Mékong et les pistes d’Indochine, Chantal Edel, Glénat.
Carte
Laos et Cambodge, 1/1 200 000e, ITM.
Tourisme responsable Une histoire de passion
Le respect des us et coutumes
Le Laos a été de longues années a l'écart du reste du monde, et en particulier de la culture occidentale. Le pays abrite environ 22 000 moines et compte environ 450 religieuses. Les moines ont un mode de vie simple qui commence très tôt le matin. A 4 h, les cloches de bronze sonnent pour annoncer le réveil et, jusqu'à 6 h 30, ils méditent ; à 6 h 30, les moines vont solliciter l'aumône auprès des habitants - on les appelle aussi les Bhikkus, c'est-à-dire "mendiant", qui désignent les moines qui quêtent la nourriture, ils sont donc totalement dépendants de la générosité des habitants -. ; à leur retour, vers 7 h ou 8 h, ils prennent le repas, se réunissent dans le monastère pour le récit de la prière commune, méditent et font une sieste ; à 10 h, les cloches sonnent à nouveau pour annoncer la quête de la viande ; à 16 h, ils nettoient les statues de Bouddha et à 18 h, c'est la prière avant d'aller se coucher vers 21 h. Un emploi du temps très structuré, que les moines sont tenus de respecter.
Les moines portent tous la même robe aux teintes de jaune et d'orange, car ce sont celles qui se rapprochent le plus du safran, épice sacrée des bouddhistes, mais aussi celles de l'aurore et de l'or qui symbolise la pureté. Le port de cette robe devient donc signe de renoncement et de sagesse.
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue
vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est
interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous
la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en
particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à
abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire
un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une
organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre
guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
Les conseils de Claire, notre responsable pour le Laos
— Ne vous mettez jamais en colère, ne montrez jamais que vous perdez patience, gardez votre calme en permanence.
— Ne touchez pas quelqu’un à la tête.
— Donnez la priorité absolue aux moines et aux nonnes ; une femme doit faire une offrande à un moine, alors qu’un homme la place devant lui à un endroit intermédiaire, de préférence pas sur le sol.
— Le riz est consommé soit à la cuillère, soit à la main (pour le riz gluant), mais jamais avec une fourchette. Habituellement, les couteaux ne sont pas fournis à table.
La préservation de l'environnement
La faune demeure encore très riche en éléphants - le Laos est le “pays du million d’éléphants” -, panthères, tigres. Les éléphants sauvages sont
domestiqués et utilisés dans les exploitations forestières.
Les forêts sont riches en essences précieuses comme
le teck.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.
Des voyages 100 % carbone absorbé
Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert
Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des
émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.