
Papouasie-Nouvelle-Guinée

Repères
Population |
6,5 millions d’habitants. |
Superficie |
462 840 km2 (plus de 600 îles). |
Capitale |
Port Moresby. |
Villes principales |
Madang, Goroka, Lae. |
Points culminants |
Mont Wilhelm (4 509 m), mont Giluwe (4 368 m). |
Langues |
Anglais et pidgin, 800 langues locales. |
Religions |
Catholiques et luthériens constituent les deux principales confession. |
Décalage horaire |
8 heures de plus qu’en France en hiver et 9 heures de plus en été. |
Géographie
La Papouasie-Nouvelle-Guinée appartient au continent océanien et a une superficie de 462 840 km2. C’est la partie est de l’île de la Nouvelle-Guinée, dont la partie occidentale, l’Irian Jaya, est indonésienne. La Papouasie-Nouvelle-Guinée compte plus de 600 îles réparties sur plusieurs archipels, dont le principal est l’archipel de Bismarck, au nord-est, qui regroupe les îles de la Nouvelle-Bretagne, de la Nouvelle-Irlande et l’île de Manus. Parmi les autres îles, citons les îles de Buka et de Bougainville qui appartiennent à l’archipel indépendant (pour ses huit autres îles) des Salomon.
Géographiquement, la Nouvelle-Guinée est issue de l’Australie, dont elle est séparée par le détroit de Torres depuis 10 000 ans suite à la montée des eaux du quaternaire. Elle se situe sur la ceinture de feu du Pacifique et subit donc régulièrement des tremblements de terre.
Le relief de la Papouasie-Nouvelle-Guinée est relativement montagneux et abrupt avec des sommets à plus de 4 000 mètres (le point culminant est le mont Wilhelm à 4 509 m). Le pays est traversé d’est en ouest par une chaîne montagneuse de plus de 300 kilomètres de long constituée de nombreux sommets avoisinant les 3 000 mètres et de hauts plateaux traversés par des rivières qui y ont creusé de profonds canyons, ce sont les hautes terres. Ce relief très tourmenté ne laisse que très peu de place aux terres cultivables (à peine 15 % de la surface du pays). Au nord-est et au sud, deux importantes dépressions forment les basses terres. Celle du nord est traversée par le fleuve Sepik qui coule sur plus de 1 100 kilomètres et dont les méandres, qui forment une ceinture de 5 à 10 kilomètres autour du fleuve, ont créé une plaine fluviale pouvant atteindre par endroits plus de 70 kilomètres de large. La dépression du sud, formée par la Fly River et ses affluents est une plaine marécageuse qui se perd dans la golfe de Papouasie.
Climat
Le climat est équatorial, chaud et humide, avec de fortes influences maritimes. La Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui reçoit des pluies régulières, est soumise au régime de la mousson de nord-ouest, avec un pic des précipitations de décembre à mars. La température est assez constante tout au long de l’année avec des
minimales de l’ordre de 23-24 °C et des maximales autour de 30-31 °C. La saison “sèche”, s’étend de mai à octobre, et la saison “humide”, de novembre à avril.
Bien que le pays soit soumis à de nombreux microclimats compte tenu de sa diversité géographique, on peut en distinguer deux grands types :
— le climat des côtes, avec, durant la saison sèche, des températures allant de 26 à 30 °C avec un fort soleil la journée et de fréquentes averses en fin de journée ;
— le climat des montagnes et des hautes terres, avec des températures elles aussi chaudes en journée, mais nettement plus fraîches la nuit (de 12 à 15 °C) dès 1 500 mètres d’altitude. Sur les sommets les plus élevés, la température peut facilement descendre en dessous de 0 °C.
La meilleure période pour découvrir la Papouasie-Nouvelle-Guinée va de mai à octobre avec une pluie moins abondante et de nombreux festivals, notamment dans les îles.
Économie
L’économie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée est fortement dépendante du secteur primaire et reste vulnérable à la fluctuation du cours des matières premières.
L’agriculture occupe 72 % des actifs et représente 42 % du produit
intérieur brut. Seules 15 % des terres sont considérées comme
arables. Aux cultures vivrières (patate douce, taro, riz, igname,
banane, maïs, canne à sucre) s’ajoutent des cultures commerciales :
cocotiers (production de coprah), palmiers à
huile, thé, cacao, hévéas (caoutchouc), pyrèthre et café, qui
constitue la première exportation agricole. La plupart des plantations
se situent sur les terres basses littorales, marécageuses et peu
peuplées. L’exploitation forestière s’accompagne parfois d’une surexploitation ! Le secteur minier, en particulier cuivre et or, et celui de l’énergie (gaz et pétrole) sont considérables et représentent 25 % du PIB, 76 % des recettes d’exportation.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui
reste dans un état de sous-développement profond, reçoit une importante
aide extérieure, dont 92 % provient de l’Australie.
Société
— le climat des montagnes et des hautes terres, avec des températures elles aussi chaudes en journée, mais nettement plus fraîches la nuit (de 12 à 15 °C) dès 1 500 mètres d’altitude. Sur les sommets les plus élevés, la température peut facilement descendre en dessous de 0 °C.
La meilleure période pour découvrir la Papouasie-Nouvelle-Guinée va de mai à octobre avec une pluie moins abondante et de nombreux festivals, notamment dans les îles.
Économie
L’économie de la Papouasie-Nouvelle-Guinée est fortement dépendante du secteur primaire et reste vulnérable à la fluctuation du cours des matières premières.
L’agriculture occupe 72 % des actifs et représente 42 % du produit
intérieur brut. Seules 15 % des terres sont considérées comme
arables. Aux cultures vivrières (patate douce, taro, riz, igname,
banane, maïs, canne à sucre) s’ajoutent des cultures commerciales :
cocotiers (production de coprah), palmiers à
huile, thé, cacao, hévéas (caoutchouc), pyrèthre et café, qui
constitue la première exportation agricole. La plupart des plantations
se situent sur les terres basses littorales, marécageuses et peu
peuplées. L’exploitation forestière s’accompagne parfois d’une surexploitation ! Le secteur minier, en particulier cuivre et or, et celui de l’énergie (gaz et pétrole) sont considérables et représentent 25 % du PIB, 76 % des recettes d’exportation.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui
reste dans un état de sous-développement profond, reçoit une importante
aide extérieure, dont 92 % provient de l’Australie.
Société
L’agriculture occupe 72 % des actifs et représente 42 % du produit intérieur brut. Seules 15 % des terres sont considérées comme arables. Aux cultures vivrières (patate douce, taro, riz, igname, banane, maïs, canne à sucre) s’ajoutent des cultures commerciales : cocotiers (production de coprah), palmiers à huile, thé, cacao, hévéas (caoutchouc), pyrèthre et café, qui constitue la première exportation agricole. La plupart des plantations se situent sur les terres basses littorales, marécageuses et peu peuplées. L’exploitation forestière s’accompagne parfois d’une surexploitation ! Le secteur minier, en particulier cuivre et or, et celui de l’énergie (gaz et pétrole) sont considérables et représentent 25 % du PIB, 76 % des recettes d’exportation.
La
population est hétérogène sur le plan ethnique et habite majoritairement des
petits villages isolés, vivant d’une agriculture de subsistance,
de cueillette et de chasse. Ignorant
l’usage du métal, les objets sont faits en bois, en os, en pierre et en
terre cuite. Les tribus pratiquent encore le troc et
certaines sont toujours nomades. Les Papous se divisent en près de 310 peuples qui parlent entre 700 et 800 langues et dialectes différents, mais le pidgin
anglais s’est développé comme langue commune. Aux Papous proprement
dits, qui vivent dans les montagnes, s’ajoutent
sur les littoraux et les nombreuses îles d’autres groupes mélanésiens,
des Polynésiens, ainsi que des Pygmées dans les régions les plus
isolées. La majorité des Papous
vit au sein de
petits groupes souverains sur leur territoire, organisés en
confédérations qui communiquent entre elles selon des modes complexes et
très ritualisés. L’ouverture sur le monde extérieur est
lente.
La vie communautaire impose le partage des
biens et la solidarité entre les wantoks, c’est-à-dire entre les membres du
même clan ou du même village. L’autorité revient aux anciens du village
ou à un “grand homme” qui aura su s’attirer les honneurs par sa bravoure
et sa générosité.
Les tribus les plus connues sont les Huli et les Wigmen (hommes perruques). Le maquillage est fondamental ainsi que les costumes, mais aussi les coiffes des Papous (perruques ornées de plumes d’oiseaux). Les femmes sont elles aussi costumées, cela en relation avec des rituels de danses et de chants. Les tribus se réunissent en période de paix pour une fête
traditionnelle, le sing-sing, à l’occasion de laquelle les villageois
arborent d’éclatantes parures et peintures corporelle, le “paraître” étant alors essentiel.
L'histoire du pays
Au IVe millénaire avant J.-C., les ancêtres des Mélanésiens actuels, venus d’Asie sud-orientale,
commencent à s’installer en Nouvelle-Guinée ; ce sont des agriculteurs
utilisant l’herminette à lame de pierre polie. En 1526, les Portugais abordent le littoral nord de la Nouvelle-Guinée. En 1828, les Hollandais occupent la partie occidentale. Entre 1883 et 1885, la Grande-Bretagne (au sud-est) et l’Allemagne (au nord-est) établissent leurs protectorats. En 1921, la Nouvelle-Guinée est sous le protectorat de l’Australie.
En 1975, la partie orientale de la Nouvelle-Guinée accède à l’indépendance et devient la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Elle est aussitôt confrontée à des problèmes internes, avivés par les
rivalités tribales et les courants indépendantistes. Ainsi, le gouvernement accorde en 1976
l’autonomie à Bougainville, qui devient indépendante en 1990.
La vie politique est dominée par les
scandales mettant en cause les deux derniers Premiers ministres, sir
Julius Chan (1994-1997) et Bill Skate (1997-1999). Sir Paias Wingti
(Premier ministre de 1985 à 1988 et de 1992 à 1994) rapproche le pays de
l’Asie du Sud-Est. Ses successeurs recentrent la politique extérieure du pays sur le Pacifique Sud.
Les élections législatives de juin 2002, marquées par
la violence et la fraude, voient 2 875 candidats représentant 45 partis
se disputer les 109 sièges à pourvoir. Le Mouvement démocratique du
peuple (PDMP), du Premier ministre sortant, M. Morauta, n’obtient que
12 sièges, devancé par l’Alliance
nationale (NA) de sir Michael Somare (19 sièges), qui forme un nouveau
gouvernement de coalition avec sept autres partis. Aux élections de
2007, 2 700 candidats, représentant 37 partis, sont en lice. L’Alliance
nationale remporte 27 sièges. Sir M. Somare, reconduit dans ses
fonctions, forme un gouvernement avec quatorze partis, la plus large
coalition depuis l’indépendance du pays.
La situation politique reste cependant très instable,
conduisant en 2011-2012 à une longue crise politique à la suite de la
destitution du Premier ministre en exercice. Peter O’Neill (opposition) est élu par le parlement et officiellement investi par le Parlement en août.
En 1975, la partie orientale de la Nouvelle-Guinée accède à l’indépendance et devient la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Elle est aussitôt confrontée à des problèmes internes, avivés par les rivalités tribales et les courants indépendantistes. Ainsi, le gouvernement accorde en 1976 l’autonomie à Bougainville, qui devient indépendante en 1990.
La vie politique est dominée par les scandales mettant en cause les deux derniers Premiers ministres, sir Julius Chan (1994-1997) et Bill Skate (1997-1999). Sir Paias Wingti (Premier ministre de 1985 à 1988 et de 1992 à 1994) rapproche le pays de l’Asie du Sud-Est. Ses successeurs recentrent la politique extérieure du pays sur le Pacifique Sud.
Les élections législatives de juin 2002, marquées par la violence et la fraude, voient 2 875 candidats représentant 45 partis se disputer les 109 sièges à pourvoir. Le Mouvement démocratique du peuple (PDMP), du Premier ministre sortant, M. Morauta, n’obtient que 12 sièges, devancé par l’Alliance nationale (NA) de sir Michael Somare (19 sièges), qui forme un nouveau gouvernement de coalition avec sept autres partis. Aux élections de 2007, 2 700 candidats, représentant 37 partis, sont en lice. L’Alliance nationale remporte 27 sièges. Sir M. Somare, reconduit dans ses fonctions, forme un gouvernement avec quatorze partis, la plus large coalition depuis l’indépendance du pays.
La situation politique reste cependant très instable, conduisant en 2011-2012 à une longue crise politique à la suite de la destitution du Premier ministre en exercice. Peter O’Neill (opposition) est élu par le parlement et officiellement investi par le Parlement en août.
Bon à savoirInformations pratiques
"Waiteman time" ou heure papoue ?
Montres et horloges n'étant apparues que très tardivement, la notion
d'heure est très relative. Vous pourrez toujours demander avec le
sourire si l'heure annoncée est prévue en "waiteman time" (l'heure de
l'homme blanc) ou en heure papoue. Mais restez attentif et gardez votre
patience.
Les colliers, bracelets, perles et coquillages
Les papous maîtrisent très bien l'art des petits objets décoratifs et des bijoux. Il ne faut pas acheter d'objet en carapace de tortue, en plumes, ni certains coquillages.
Le bush
Ce mot revient régulièrement dans la conversation. il désigne la jungle, mais aussi tout espace non habité, non cultivé.
Le bétel
Mélange de noix d'arec, de haricot de poivrier et de chaux pilés, il produit un jus rouge légèrement excitant. Les papous dépensent une grande partie de leur temps et de leur argent à en acheter et à en mâcher.
Electricité
Tension électrique : 240 V, 50 Hz. Prévoyez un adaptateur pour les prises électriques.
Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Prévoir une autonomie suffisante car il n’est pas possible de recharger les batteries pendant les treks.
BibliographieGuides :
Le Petit Futé Papouasie, Nouvelle-Guinée.
Tourisme responsableLe respect des us et coutumes
Les traditions perdurent et les arts et les cultures conservent toute leur vitalité. On parle plus d’un millier de langues en Papouasie- Nouvelle Guinée, et le nombre de cultures y est presque tout aussi important. Ce pays a gardé intactes une bonne part de ses traditions. Le long de la rivière Sepik, les maisons d’hommes (haus tambarans) sont restées au centre de la vie quotidienne et cérémonielle des villages.
Les papous ont un grand sens de l'accueil, font preuve de bonne humeur et d'un humour permanent. Mais ils ont aussi un manque absolu de ponctualité et la faculté de relativiser tous les problèmes (donc de ne pas les régler !).
Et ils sont susceptibles !
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue
vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est
interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous
la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en
particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à
abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire
un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une
organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre
guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
La préservation de l'environnement
Situé à proximité de l'équateur, bénéficiant de précipitations abondantes, de températures élevées et continues toute l'année,
le pays abrite une faune et une flore
extrêmement riches et variées, considérées comme l'une des plus riches de la planète.
Les trois quarts du pays sont couverts d'une forêt
primaire ou secondaire qui doit sa très grande richesse à la situation
géographique, pont naturel entre l'Asie,
l'Australie et les îles du Pacifique du Sud-Ouest. On y a recensé les
deux tiers des espèces d'orchidées du monde, plus de 700 groupes
d'oiseaux (dont le célèbre oiseau de paradis), 9 000 types de plantes,
plus de 300 espèces de mammifères, 250 espèces de grenouilles, 450
espèces de papillons, 200 variétés de reptiles et plus d'une centaine de
différents serpents.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.
Des voyages 100% carbone neutre
Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert
Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des
émissions de CO2 générées par le transport aérien de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...
Les papous ont un grand sens de l'accueil, font preuve de bonne humeur et d'un humour permanent. Mais ils ont aussi un manque absolu de ponctualité et la faculté de relativiser tous les problèmes (donc de ne pas les régler !). Et ils sont susceptibles !
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
La préservation de l'environnement
Situé à proximité de l'équateur, bénéficiant de précipitations abondantes, de températures élevées et continues toute l'année,
le pays abrite une faune et une flore
extrêmement riches et variées, considérées comme l'une des plus riches de la planète.
Les trois quarts du pays sont couverts d'une forêt
primaire ou secondaire qui doit sa très grande richesse à la situation
géographique, pont naturel entre l'Asie,
l'Australie et les îles du Pacifique du Sud-Ouest. On y a recensé les
deux tiers des espèces d'orchidées du monde, plus de 700 groupes
d'oiseaux (dont le célèbre oiseau de paradis), 9 000 types de plantes,
plus de 300 espèces de mammifères, 250 espèces de grenouilles, 450
espèces de papillons, 200 variétés de reptiles et plus d'une centaine de
différents serpents.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.
Des voyages 100% carbone neutre
Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert
Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des
émissions de CO2 générées par le transport aérien de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...
Les trois quarts du pays sont couverts d'une forêt primaire ou secondaire qui doit sa très grande richesse à la situation géographique, pont naturel entre l'Asie, l'Australie et les îles du Pacifique du Sud-Ouest. On y a recensé les deux tiers des espèces d'orchidées du monde, plus de 700 groupes d'oiseaux (dont le célèbre oiseau de paradis), 9 000 types de plantes, plus de 300 espèces de mammifères, 250 espèces de grenouilles, 450 espèces de papillons, 200 variétés de reptiles et plus d'une centaine de différents serpents.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.