Des voyages 100 % carbone absorbé

Cette démarche se décline selon trois axes :
1 • Mesurer de manière rigoureuse le bilan carbone de nos voyages.
2 • Réduire notre empreinte carbone sur tous les postes où cela est possible.
3 • Absorber la totalité des émissions de C02 générées par les voyages de nos clients et salariés.
Mesurer
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Mesurer l’empreinte carbone de nos voyages est la première étape pour agir, à notre échelle, contre le réchauffement climatique. Chaque année, le nombre de kilos de C02 émis par nos voyages est calculé avec la méthode d’évaluation de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), qui répond aux exigences les plus strictes.
Voici quelques exemples (émissions de C02 en moyenne/destination/voyageur) :
Un tour du Mont-Blanc en liberté :
7 jours, hébergement en refuge et transferts en navette publique.
Une randonnée sur l’île de Madère en groupe :
8 jours, hébergement en hôtel ou residencial et transferts en minibus.
Un trekking en Tanzanie en groupe :
14 jours, hébergement en lodge et transferts en minibus et 4x4 pour le safari.
Réduire
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• Dans notre activité, les émissions de C02 sont pour la plus grande partie générées par le transport aérien. Lorsque cela est possible, nous privilégions les vols directs afin de réduire les décollages et atterrissages, qui ajoutent aux émissions produites, et choisissons des compagnies aériennes aux avions plus récents, moins générateurs de C02, ou engagées dans une politique vertueuse.
• Nous sélectionnons des hébergements respectueux de l’environnement : ainsi des écolodges en Finlande ou en Turquie, des gîtes agrotouristiques en Italie…
• En France, nous proposons un service gratuit de mise en relation de voyageurs afin d’encourager le covoiturage pour rejoindre les lieux de rendez-vous.
• Dans les Alpes du Sud, pour tous nos circuits, les pique-niques sont locaux, une démarche que nous allons prochainement mettre en place dans les Alpes du Nord.
• Nous avons rejoint le réseau d’éco-acteurs de la Réserve de biosphère du mont Viso.
• Six de nos circuits dans les Alpes ont reçu la qualification Esprit parc national, qui vise à la mise en valeur de produits et services des hommes et femmes impliqués dans la préservation et la promotion des parcs nationaux de France.
Absorber
…
L’absorption de CO2 est un mécanisme qui permet de réduire la quantité de CO2 présente dans l’atmosphère. Dans le cas des émissions de CO2 anthropiques (dues à l’action de l’homme), l’absorption est effectuée soit par captation de CO2 dans l’atmosphère puis réinjection dans le sol (stockage géologique), soit par action sur la biomasse (agroforesterie, plantation d’arbres…).
C’est le choix d’Allibert Trekking, qui contribue financièrement à des projets destinés à limiter le réchauffement des températures et leur impact. Le montant de tonnes de gaz à effet de serre absorbé correspond à 100 % des émissions de CO2 de tous nos voyages.
Au sein de la fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero, qui accompagne les communautés rurales dans la reforestation et la préservation de leurs écosystèmes afin d'améliorer leurs conditions de vie, nous participons aux projets de replantation de mangrove en Inde (dans la région des Sundarbans), en Indonésie (nord de l’île de Sumatra), au Sénégal aux côtés de Livelihoods Carbon Fund. En contribuant à replanter des milliers d’hectares de mangrove et de forêt, ces projets permettent de capter des centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre.
* Fonds destiné à lutter contre le réchauffement climatique avec un fort impact social et économique local.
Chaque année, 80 000 km2 de forêts disparaissent, menaçant la biodiversité, les équilibres climatiques mondiaux et les conditions de vie des populations des bassins forestiers. La forêt, formidable réservoir de biodiversité, constitue l’habitat de 50 % des espèces animale et végétale. 25 % de la population mondiale tire ses moyens d’existence de celle-ci et 60 millions de personnes dépendent entièrement d’elle pour leur survie. Plus que tout autre écosystème, les forêts stockent le carbone dans leur biomasse (les arbres sont constitués à 50 % de carbone) et limitent sa concentration dans l’atmosphère. Elles sont ainsi des barrières naturelles qui protègent les zones côtières contre l’érosion, la montée des eaux et les cyclones.
Plantation de palétuviers en Inde. >>