Arménie

Avec son riche héritage culturel, l’Arménie est une des plus anciennes civilisations au monde. Pourtant, la terre est  difficile : la région est montagneuse et accidentée, le climat est chaud et humide à l’est, très sec au-delà de l’immense lac Sevan. La capitale politique, Erevan, draine la plus grande partie des industries locales. Le reste du pays, parsemé de sites historiques, de monastères ou d’églises dont les plus anciennes datent du VIème siècle, demeure très agricole. Vagharchapat (Etchmiadzine), capitale spirituelle, est le centre de l’Eglise autocéphale arménienne et résidence de son Catholicos. L’Arménie est le premier Etat au monde à avoir adopté le christianisme comme religion officielle, en 301, 80 ans avant l’Empire romain ! De doctrine monophysite, c’est-à-dire ne reconnaissant que la nature divine du Christ et non sa nature humaine, l’église arménienne n’est ni orthodoxe ni catholique.
Malgré les terribles massacres de 1915, premier génocide du XXe siècle, la soviétisation en 1920, les Arméniens, solidement attachés à leur religion, leur culture et leur langue, ont préservé leur personnalité soit en diaspora, soit en république socialiste soviétique d’Arménie. Les conditions de vie difficiles dans ce pays de rocaille aux hivers polaires et aux étés brûlants ont façonné le caractère des Arméniens : patients et travailleurs. Dans leur lutte incessante contre les envahisseurs, ils ont acquis aussi le sens de l’entraide et le patriotisme. Ajoutons-y une fabuleuse hospitalité !

Voyages en Arménie

Repères

Population

3,2 millions d’habitants.

Superficie

29 800 km2.

Capitale

Erevan.

Villes principales

Gumri, Vanadzor, Kapan.

Point culminant

mont Aragats (4 095 m).

Langue

arménien.

Religion

arméniens orthodoxes (94 %).

Décalage horaire

par rapport à la France, trois heures de plus en hiver, deux heures de plus en été. UTC/GMT : + 4.


Géographie

Enclavée dans les hauteurs du Caucase, l’Arménie est un pays sans accès à la mer. Cette ancienne république soviétique partage ses frontières terrestres avec la Turquie, à l’ouest, la Géorgie, au nord, l’Azerbaïdjan, à l’est, et l’Iran, au sud. Bien que située en Asie, l’Arménie est considérée par certains comme faisant partie de l’Europe culturellement, historiquement et politiquement.
L’Arménie est constituée de plateaux et de chaînes montagneuses élevées. Près de 90 % du territoire se situent à plus de 1 000 mètres d’altitude. Son point culminant historique était le mont Ararat et ses 5 160 mètres jusqu’en 1915. Depuis, le mont Ararat se trouve en Turquie et le point culminant actuel est le mont Aragats (4095 m). Si le pays compte de nombreux lacs dont le lac Sevan (plus de 1200 km2), les cours d’eau se résument à des torrents et petites rivières, seul un vrai fleuve, l’Araxe (994 km), arrose le pays.

Climat

Le climat, continental sur la majeure partie du territoire, devient rapidement montagneux avec l’altitude. Les hivers sont froids (particulièrement sur les hauts plateaux, où il peut faire jusqu’à – 35 °C) et parfois assez neigeux (surtout en altitude). Les étés sont chauds et ensoleillés, ponctués de quelques orages en fin de journée.
Près d’Erevan, vers 1 000 mètres d’altitude, le climat est quasi continental (étés plus secs). 

Erevan

janv.

fév.

mars

avril

mai

juin

juil.

août

sept.

oct.

nov.

déc.

températures °C

- 5

0

7

11

19

23

25

25

20

15

8

1

Précipitations

23

25

28

48

53

23

15

8

13

23

31

28


Économie

Dans les années 2000, l’Arménie suit une “voie prometteuse”, selon les termes du FMI : les indicateurs économiques progressent, avec en 2005 un taux de croissance de 11,5 %, le plus élevé de la CEI. Cette croissance repose en partie sur l’augmentation significative des exportations (en particulier de diamants, pour lesquels le pays est réputé au plan mondial) et la mise en place d’une politique monétaire rigoureuse qui contient l’inflation à 3 %. L’économie arménienne apparaît alors comme l’une des plus libérales de la région : en 2006, la Banque mondiale classe l’Arménie parmi les pays dont l’environnement juridique est le plus favorable à la création d’entreprises.
Mais en 2009, afin de réduire le choc de la récession, l’Arménie reçoit une aide du FMI. Au début des années 2010, la croissance économique s’établit vers 7 % pour retomber à 3,4 % en 2014 et devenir négative en 2015 (en cause le ralentissement de la croissance russe). Actuellement, l’Arménie fait face à un chômage qui atteint 18 %. 
L’agriculture, qui emploie près de 40 % de la population active, représente 22 % du PIB (blé, pommes de terre, agrumes, raisin, tabac, coton).
Le secteur industriel – 17 % de la population active – représente 30 % du PIB, dont 20 % pour la construction.
Le secteur tertiaire contribue à hauteur de 46 % du PIB, notamment avec les secteurs des technologies de l’information et de la communication.
L’Arménie dépend de la Russie pour ses besoins en pétrole et gaz. L’hydroélectricité est développée, l’Arménie en exporte une partie.

Le régime arménien est un régime semi-présidentiel.

Société

Peu peuplée, l’Arménie jouit du soutien d’une très importance diaspora à travers le monde (Russie, Etats-Unis, Liban).
Après de nombreuses années de diminution due à l’émigration, la population arménienne s’est stabilisée, pour commencer à augmenter en 2008. Un tiers de la population, soit plus d'un million d'habitants, habite Erevan.
Malgré les nombreuses difficultés de son histoire, l’Arménie a su créer des richesses culturelles pérennes, et notamment l’une des plus anciennes civilisations au monde. Bien que l’Arménie soit un pays séculier, la religion chrétienne tient une place importante, et la foi chrétienne est un facteur d’unité nationale.
L’Eglise arménienne est autocéphale, avec à sa tête le patriarche suprême et catholicos qui siège à Etchmiadzine, berceau religieux de l'Arménie.
Les Yezidis, petite minorité religieuse adepte du yezidisme, forment une communauté estimée à environ 80 000 personnes. Installés dans les villages de la plaine de l’Ararat et du Sud-Ouest du pays, ils sont pour la plupart éleveurs ; on les rencontre en été sur les pentes supérieures du mont Aragats, où ils emmènent paître leurs bêtes, vivant plusieurs mois d’affilée sous la tente. Ni chrétiens ni musulmans, leur foi est un syncrétisme religieux proche des croyances zoroastriennes de l’Empire perse d’autrefois. Leur principal lieu saint, Lalesh, se situe dans l’actuel Kurdistan irakien. Selon les rares spécialistes du sujet, les Yezidis sont ethniquement kurdes.

L'histoire du pays

L’historie de l'Arménie, vieille de 4 500 ans, date d’avant 2 500 avant J.C., lorsque commença le processus d’unification des tribus qui habitaient le plateau arménien. Mais, selon la tradition biblique, les Arméniens descendent  de Hayk, arrière-arrière-petit-fils de Noé. Entre Orient et Occident, l’Arménie a été occupée par les Mèdes, les Perses, les Séleucides, Rome, Byzance, les Parthes, les Arabes et les Mongols. Deux événements importants sont à l’origine de l’identité nationale arménienne : la conversion au christianisme en 301 et la création d’un alphabet en 405 ; cet alphabet ayant permis de se passer du grec et du syriaque dans le domaine religieux et du persan dans le domaine administratif. 
Constantinople s’empare de l’Arménie occidentale en 387, et les Sassanides de l’Arménie orientale en 428. Les Arabes arrivent en 645. Les Arméniens, refusant la conversion à l’islam qui est leur est imposée, émigrent, c’est le début de la diaspora. Au IXe siècle, le calife reconnaît un roi arménien. Mais rapidement Seldjoukides et Mongols envahissent et pillent le pays. Après la victoire russe sur l’Empire perse vers 1830, l’Arménie passe sous le joug chrétien. L’environnement étant préférable à celui de la Turquie, de nombreux Arméniens rentrent. Mais lorsque les Arméniens ottomans réclament davantage de droits, près de 300 000 sont massacrés en 1896. Pendant la Première Guerre mondiale, certains Arméniens ottomans se rangent aux côtés de la Russie dans l’espoir d’établir leur propre nation. Le triumvirat de pachas qui avait obtenu de force le contrôle de l’Empire considérant cet acte comme déloyal ordonne la marche forcée de tous les sujets arméniens dans les déserts syriens. Aujourd’hui, les Arméniens assurent que l’ordre a bien été donné de perpétrer un génocide. Les Turcs le nient farouchement. Un fait demeure : entre 1915 et 1922, environ 1,5 million d’Arméniens ottomans périssent. La première République indépendante arménienne voit le jour, en 1918. Aussitôt, elle doit affronter l’arrivée massive de réfugiés, l’épidémie de grippe espagnole, et des guerres avec ses voisins turcs, azéris et géorgiens. Elle repousse l’envahisseur turc en 1918. Pendant ce temps, les Turcs, rassemblés par Mustafa Kemal (qui prendra le nom de Kemal Atatürk), envahissent certaines régions du Caucase du Sud, Atatürk propose la paix à Lénine, en échange de la moitié de la nouvelle République arménienne, qui accepte. Le gouvernement arménien capitule devant les Bolcheviks en 1921. De nombreux Arméniens se réfugient en Syrie, au Liban, en Afrique du Nord et en France ; les Arméniens restés sur place se mettent à reconstruire. Les Arméniens votent pour l’indépendance le 21 septembre 1991. Levon Ter-Petrossian, intellectuel de 40 ans, est élu président. La guerre avec l’Azerbaïdjan au sujet du Karabakh éclate au moment même où l’économie plonge.  Après la guerre, suite à des rumeurs de coups d’Etat et de tentatives d’assassinat, Levon Ter-Petrossian annule les droits civiques et emprisonne des leaders dashnaks et combattants de la guerre du Karabakh. Levon Ter-Petrossian est réélu en 1996 pour un nouveau mandat de cinq ans. Toutefois, isolé et très impopulaire, il démissionne en 1998.
Robert Kotcharian, héros de la guerre, originaire du sud du Karabakh, lui succède en 1998. A la fin des années 1990, la colère monte, suscitée par la terrible disparité entre une population pauvre et une classe s’étant enrichie grâce à l’importation, un massacre est perpétré à l’Assemblée nationale en 1999. Mais le rapide boom économique de la première décennie du XXIe siècle met du baume au cœur des Arméniens pendant quelques années. Puis, comme tous les pays, l’Arménie souffre de la crise mondiale de 2009. 
Actuellement, l’Arménie tente de s’appuyer, d’une part, sur l’Europe et, d’autre part, sur sa diaspora, force de lobbying à l’étranger.

Bon à savoir

Informations pratiques

La diaspora
Avant même d’être des exilés, les Arméniens sont de grands voyageurs. Dès après la disparition du royaume au XIVe siècle, ils s’aventurent vers des terres lointaines et inconnues. On les retrouve bientôt en Perse, en Inde, où des artisans arméniens semblent participer à la construction du Taj Mahal. Des églises arméniennes sont construites dans l’actuel Bengladesh au XVIIIe siècle, à Singapour dès 1835, en Ethiopie...
 
La cuisine

L’histoire du pays a déteint sur les assiettes... Au fil du temps, les Arméniens ont picoré idées et recettes, mêlant influences turques et persanes, russes, libanaises et grecques. Un vrai melting-pot culinaire. Reste que la cuisine arménienne n’est pas une pâle copie : elle a son identité, une identité qui s’appuie sur la richesse des produits de saison.

Quels souvenirs rapporter d’Arménie ?

Marco Polo, à propos de ces régions, écrivait : “La Turcomanie a trois races d’habitants. Les Turcomans, d’abord, qui adorent Mahomet. Ce sont des gens simples et qui ont leur langage à eux. Ils demeurent en montagne et dans les landes, là où ils trouvent de bons pâturages, car ils vivent du bétail. [...] Les autres habitants sont Arméniens et Grecs, qui vivent mêlés avec eux dans les villes et les bourgs. Ils vivent de commerce et d’industrie : ils fabriquent les tapis les plus fins et les plus beaux du monde, et aussi des draps de soie de diverses couleurs, très beaux et très riches, en très grande quantité, et beaucoup d’autres choses.”
Alors ramenez un tapis à suspendre ou à poser au sol ! Marchander est obligatoire pour fixer le prix selon une loi ancestrale : le vendeur ne vendra jamais à perte...
Demander le prix d’un article signifie que vous voulez acheter. Dans ce cas, n’hésitez pas à descendre le prix au niveau le plus bas pour remonter ensuite progressivement. Votre achat sera d’autant plus réussi que vous aurez passé un bon moment à échanger avec votre interlocuteur.

Electricité
Tension électrique : 220 V, 50 Hz.

Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Pour les appareils numériques, prévoyez une autonomie suffisante, car il n’y a pas toujours la possibilité de recharger vos batteries, excepté lorsque nous dormons à l’hôtel et chez l'habitant (guest house). Les prises sont identiques aux prises françaises.

Quelques mots utiles
Apprendre quelques mots clés vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs et de faciliter vos échanges. L’arménien occidental est la langue parlée par les Arméniens.
Parev : bonjour.
Intchbess : comment ? Intch tout court veut dire quoi.
Ess : tu es...
Lav : bien.
‘em : je suis.
Yes ?: moi ?
Intchou ? : pourquoi ?
Intch yeghav : que s’est-il passé ?
Hivan t : malade.
Kitch-me : un peu.
Biddi menam : je vais rester.
Doun : maison.
Chnorhagal ‘em : merci.
Vous pouvez demander à votre guide comment les prononcer... Votre voyage n’en sera que plus riche ! Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d’avoir de bons contacts !

Bibliographie

Sites Internet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arménie.
http://www.routard.com/guide/armenie.
http://www.haykland.com/wildlife.php.
 
L’Arménie au Moyen Age, Jean-Michel Thierry, éditions Zodiaque.
Histoire de l’Arménie, René Grousset, Payot.
Histoire de l’Empire ottoman, Robert Mantran, Fayard.
Les Arméniens. Histoire d’un génocide, Yves Ternon, Points Seuil.
Monuments arméniens de Haute-Arménie, Jean-Michel Thierry de Crussol, CNRS.
Histoire de l’Arménie, Moïse de Khorène, Gallimard.
L’Arménie, Claire Mouradian, Que sais-je? PUF.
Géopolitique des Caucases, François Thual, Ellipses Marketing.
Atlas des peuples d’Orient - Moyen-Orient, Caucase, Asie centrale, Jean Sellier et André Sellier, La Découverte.

Tourisme responsable

Une histoire de passion

Plusieurs rencontres avec les agences locales arméniennes nous ont permis de sélectionner la plus compétente. Notre patron local, Hakob, est un jeune homme très dynamique et d’un accueil naturel extraordinaire. Il s’investit localement dans des associations de défense de l’environnement pour améliorer des sites urbains ou naturels. Et au sein de notre agence réceptrice, il sait gérer avec bienveillance une équipe attentionnée et aux valeurs humaines certaines.

Le respect des us et coutumes

En Arménie, les touristes sont considérés comme des “invités” (hür, en arménien) ; c’est d’ailleurs généralement le nom qu’on leur donne. L’hospitalité est inscrite dans les mœurs locales et est un véritable devoir national.

Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.

Ces précautions favorisent les échanges.

La préservation de l'environnement

La préservation de l'environnement
De la nature montagneuse de l’Arménie résulte une succession de paysages très différents, avec des variations dues au climat, au sol, aux ressources en eau. Ces paysages permettent une grande diversité d’habitats de flore et de faune.
Pour le biologiste, l’Arménie est un paradis à explorer. Elle est riche d’une faune assez diversifiée qui va des insectes du désert aux animaux des forêts tempérées comme l’ours et le loup. Une attention particulière devrait être accordée aux insectes, oiseaux et reptiles. Certaines d’entre eux sont endémiques au pays. 

Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire. Lire notre conseil de guide "La faune de montagne" https://www.allibert-trekking.com/197-respect-faune-montagne
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.

Nous vous invitons par ailleurs à télécharger la charte éthique du voyageur :
https://www.allibert-trekking.com/231-agir-pour-un-tourisme-responsable.

Des voyages 100 % carbone absorbé

Engagée dès 2006 dans l’absorption carbone des vols de ses salariés, Allibert Trekking absorbe depuis le 1er janvier 2018 l’intégralité des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de ses voyageurs. Une démarche permettant de financer des actions de lutte contre la déforestation et de restauration de la mangrove. En savoir plus...